Sur son site internet, l'agence Chine nouvelle a annoncé que le Comité international olympique (CIO) avait confié les JO-2020 à Istanbul dans la nuit de samedi à dimanche à Buenos Aires.
La télévision d'Etat a de son côté diffusé un bandeau affirmant que Tokyo, dernière en lice avec Istanbul et Madrid, avait été éliminée.
Ces deux informations erronées ont été par la suite supprimées mais continuaient dimanche de faire l'objet de maints commentaires sur la Toile.
"Ils se sont ridiculisés", estimait ainsi Yan Tao sur Sina Weibo, principal service de microblogging en Chine.
Chine nouvelle a pu confondre le vote final avec un vote de qualification devant décider de faire avancer Istanbul ou Madrid au second tour de table, la première l'ayant emporté.
"Les menteurs doivent rendre des comptes, sinon il n'y a pas de justice ", tempêtait un autre internaute, identifié comme McMonkey, en référence à la répression par les autorités de personnes propageant des rumeurs sur l'internet.
L'an dernier, le Quotidien du peuple, organe de presse officiel du Parti communiste chinois (PCC), avait pris pour argent comptant une information d'un journal satirique américain selon laquelle le dirigeant nord-coréen Kim Jong-Un avait été élu l'"homme vivant le plus sexy" de 2012.
Certains commentaires se concentraient en revanche dimanche sur le choix de Tokyo avec qui Pékin entretient plusieurs contentieux liés notamment à l'époque des conquêtes nippones au 20e siècle.
La Chine et le Japon se disputent en particulier la souveraineté d'îles en mer de Chine orientale appelées Diaoyu en chinois et Senkaku en japonais.
"C'est une farce internationale de laisser ce pays accueillir les JO", déplorait "Kid Green". "J'espère qu'ils (les Japonais) vont régler la question des Diaoyu et des +femmes de réconfort+, admettre le massacre (de civils chinois) et affronter l'Histoire".
Les "femmes de réconfort" étaient des Asiatiques enrôlées de force dans les bordels de l'armée impériale japonaise durant la Deuxième guerre mondiale.
La télévision d'Etat a de son côté diffusé un bandeau affirmant que Tokyo, dernière en lice avec Istanbul et Madrid, avait été éliminée.
Ces deux informations erronées ont été par la suite supprimées mais continuaient dimanche de faire l'objet de maints commentaires sur la Toile.
"Ils se sont ridiculisés", estimait ainsi Yan Tao sur Sina Weibo, principal service de microblogging en Chine.
Chine nouvelle a pu confondre le vote final avec un vote de qualification devant décider de faire avancer Istanbul ou Madrid au second tour de table, la première l'ayant emporté.
"Les menteurs doivent rendre des comptes, sinon il n'y a pas de justice ", tempêtait un autre internaute, identifié comme McMonkey, en référence à la répression par les autorités de personnes propageant des rumeurs sur l'internet.
L'an dernier, le Quotidien du peuple, organe de presse officiel du Parti communiste chinois (PCC), avait pris pour argent comptant une information d'un journal satirique américain selon laquelle le dirigeant nord-coréen Kim Jong-Un avait été élu l'"homme vivant le plus sexy" de 2012.
Certains commentaires se concentraient en revanche dimanche sur le choix de Tokyo avec qui Pékin entretient plusieurs contentieux liés notamment à l'époque des conquêtes nippones au 20e siècle.
La Chine et le Japon se disputent en particulier la souveraineté d'îles en mer de Chine orientale appelées Diaoyu en chinois et Senkaku en japonais.
"C'est une farce internationale de laisser ce pays accueillir les JO", déplorait "Kid Green". "J'espère qu'ils (les Japonais) vont régler la question des Diaoyu et des +femmes de réconfort+, admettre le massacre (de civils chinois) et affronter l'Histoire".
Les "femmes de réconfort" étaient des Asiatiques enrôlées de force dans les bordels de l'armée impériale japonaise durant la Deuxième guerre mondiale.
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