Entretien
Coach, quelle lecture faites-vous de la poule A où le Sénégal côtoie la Grande Bretagne, les Emirats Arabes Unis et l’Uruguay ?
Nous sommes entrain de mettre en place une organisation, surtout un état d’esprit à partir d’un concept simple. Exigence et proximité. La mayonnaise commence à prendre forme. Les acteurs principaux, les dirigeants adhèrent. La poule à laquelle nous appartenons ne nous effraie pas. On ne demande qu’une seule chose : le soutien de tous les sénégalais, de bonnes conditions de préparation selon le plan-programme qu’on va proposer aux autorités. Si cela suit, lors de ce tournoi, nous allons montrer que le football sénégalais reste un bon football. On dit que cette poule A est difficile, mais c’est le foot. Nous croyons en nos joueurs qui, au fil du temps, gagnent en expérience.
Mais vous allez aussi rencontrer le pays organisateur, ce ne sera pas facile ?
On a vu des nations organiser de grandes compétition comme le Mondial, l’Euro, la Can etc. et les perdre. Dieu a fait que lors de ce tournoi, on va joueur contre le pays organisateur, la Grande-Bretagne, berceau du football, un pays qui ne vit que du football. Mais encore une fois, cela ne nous effraie pas du tout.
Et pour l’Uruguay et les Emirats Arabes Unis, vos deux autres adversaires ?
On disait qu’Oman nous était supérieur mais le terrain a prouvé que nous aussi nous avons de la qualité et on n’hésitera pas devant l’adversaire. Toutes les équipes qui sont qualifiées à ces JO ont du mérite et vont défendre crânement leurs couleurs. C’est vers cette seule direction que mon staff va se tourner.
Quelle préparation faut-il à cette équipe pour une participation honorable ?
Quand on atteint ce stade de la compétition et qu’on s’apprête à aller à un niveau supérieur, cela exige des conditions supérieures de travail et de motivation. Nous allons mettre les joueurs dans de bonnes conditions de travail et si les autorités appuient, nous assurerons.
Source : Stades
Coach, quelle lecture faites-vous de la poule A où le Sénégal côtoie la Grande Bretagne, les Emirats Arabes Unis et l’Uruguay ?
Nous sommes entrain de mettre en place une organisation, surtout un état d’esprit à partir d’un concept simple. Exigence et proximité. La mayonnaise commence à prendre forme. Les acteurs principaux, les dirigeants adhèrent. La poule à laquelle nous appartenons ne nous effraie pas. On ne demande qu’une seule chose : le soutien de tous les sénégalais, de bonnes conditions de préparation selon le plan-programme qu’on va proposer aux autorités. Si cela suit, lors de ce tournoi, nous allons montrer que le football sénégalais reste un bon football. On dit que cette poule A est difficile, mais c’est le foot. Nous croyons en nos joueurs qui, au fil du temps, gagnent en expérience.
Mais vous allez aussi rencontrer le pays organisateur, ce ne sera pas facile ?
On a vu des nations organiser de grandes compétition comme le Mondial, l’Euro, la Can etc. et les perdre. Dieu a fait que lors de ce tournoi, on va joueur contre le pays organisateur, la Grande-Bretagne, berceau du football, un pays qui ne vit que du football. Mais encore une fois, cela ne nous effraie pas du tout.
Et pour l’Uruguay et les Emirats Arabes Unis, vos deux autres adversaires ?
On disait qu’Oman nous était supérieur mais le terrain a prouvé que nous aussi nous avons de la qualité et on n’hésitera pas devant l’adversaire. Toutes les équipes qui sont qualifiées à ces JO ont du mérite et vont défendre crânement leurs couleurs. C’est vers cette seule direction que mon staff va se tourner.
Quelle préparation faut-il à cette équipe pour une participation honorable ?
Quand on atteint ce stade de la compétition et qu’on s’apprête à aller à un niveau supérieur, cela exige des conditions supérieures de travail et de motivation. Nous allons mettre les joueurs dans de bonnes conditions de travail et si les autorités appuient, nous assurerons.
Source : Stades