« Deux fois de suite vos compatriotes vous ont fait confiance en vous mettant à la tête du pays, le Sénégal. Devant les menaces graves qui pèsent sur la stabilité du pays, vous avez en juillet 2023 apaisé les ardeurs en annonçons votre décision salutaire de renoncer à une troisième candidature. Par la même occasion vous aviez pris, au nom du vaillant peuple sénégalais, l’engagement de réaliser les conditions d’organisation d’une l’élection transparente, participative et inclusive », écrivent les Ibadous.
Qui poursuivent : « vous aviez ainsi, à travers cette importante décision, manifesté à vos compatriotes et à toute la communauté internationale votre souci de « cohérence » avec vos engagements antérieurs, parce que vous étiez conscient qu’en cherchant à vous maintenir au pouvoir, notre pays serait dans une impasse grave. Vous avez par une suite logique, convoqué par décret n° 2023-2283 du 29 novembre 2023, le collège électoral, pour l’élection présidentielle du 25 février 2024. La mise en œuvre du processus a abouti à l’arrêt et à la publication de la liste définitive des vingt (20 candidats) à l’élection présidentielle par le Conseil constitutionnel », lit-on dans la note repris par Les Echos .
Selon l’association Jama’atou, la décision prise à quelques heures du démarrage de la campagne électorale, pour annoncer le report n’a toute fois pas suivi cette logique. « Vous annonciez dans votre adresse à vos compatriotes que notre pays qui porte encore « les stigmates des violentes manifestations de mars 2021, ne peut pas se permettre une nouvelle crise ».
« Elle estime qu' il n’existe pas une crise institutionnelle qui puisse justifier ce report pouvant engendrer des conséquences sur la paix sociale et la stabilité de notre pays ».
« L’engagement que avez pris à la fin de votre message d’organise un dialogue nationale ouvert afin de réunir les conditions d’une élection libre transparente et inclusive dans un Sénégal apaisé et reconcilié a été compris par les scènes tristes t fort regrettables qui sont déroulé le lundi 5 février 2024 au sein de l’hémicycle, lors du vote en procédure d’urgence, d’une proposition de loi constitutionnel portant dérogation aux dispositions de l’article 31 de la constitution », lit-on dans le communiqué.
Ainsi, ils invitent solennellement à la retenue et au dépassement « nous appelons à votre sens des responsabilités, et souhaitons comme tous ceux qui ne vous souhaitent que du bien que vous puissiez sortir par la grande porte, la tête haute au lieu de laisser derrière vous un pays en lambeaux ».
Qui poursuivent : « vous aviez ainsi, à travers cette importante décision, manifesté à vos compatriotes et à toute la communauté internationale votre souci de « cohérence » avec vos engagements antérieurs, parce que vous étiez conscient qu’en cherchant à vous maintenir au pouvoir, notre pays serait dans une impasse grave. Vous avez par une suite logique, convoqué par décret n° 2023-2283 du 29 novembre 2023, le collège électoral, pour l’élection présidentielle du 25 février 2024. La mise en œuvre du processus a abouti à l’arrêt et à la publication de la liste définitive des vingt (20 candidats) à l’élection présidentielle par le Conseil constitutionnel », lit-on dans la note repris par Les Echos .
Selon l’association Jama’atou, la décision prise à quelques heures du démarrage de la campagne électorale, pour annoncer le report n’a toute fois pas suivi cette logique. « Vous annonciez dans votre adresse à vos compatriotes que notre pays qui porte encore « les stigmates des violentes manifestations de mars 2021, ne peut pas se permettre une nouvelle crise ».
« Elle estime qu' il n’existe pas une crise institutionnelle qui puisse justifier ce report pouvant engendrer des conséquences sur la paix sociale et la stabilité de notre pays ».
« L’engagement que avez pris à la fin de votre message d’organise un dialogue nationale ouvert afin de réunir les conditions d’une élection libre transparente et inclusive dans un Sénégal apaisé et reconcilié a été compris par les scènes tristes t fort regrettables qui sont déroulé le lundi 5 février 2024 au sein de l’hémicycle, lors du vote en procédure d’urgence, d’une proposition de loi constitutionnel portant dérogation aux dispositions de l’article 31 de la constitution », lit-on dans le communiqué.
Ainsi, ils invitent solennellement à la retenue et au dépassement « nous appelons à votre sens des responsabilités, et souhaitons comme tous ceux qui ne vous souhaitent que du bien que vous puissiez sortir par la grande porte, la tête haute au lieu de laisser derrière vous un pays en lambeaux ».