Vue aérienne de la station de Fukushima Daiichi, au Japon, le 24 mars 2011.
La moitié des fonds inscrits au budget 2011 pour la création d’emplois, après le séisme et le tsunami géant dans le nord-est du Japon, a servi à toute autre chose. Par exemple, à compter les tortues marines arrivant sur des plages de la préfecture de Kagoshima, tout au sud de l’archipel.
Ou encore, à financer un programme de soutien aux baleiniers japonais, qui dans l’Antarctique capturent chaque année plus d’un millier de cétacés à des « fins scientifiques ». Ou à la promotion du vin et du fromage dans l’île d’Hokkaido, tout au nord, loin des zones dévastées.
Ce détournement de fonds publics destinés aux rescapés de la catastrophe naturelle a été toléré par le précédent gouvernement de centre-gauche avant les élections.
Un responsable du ministère de la Protection sociale risque une autre justification : les survivants étaient disséminés dans tout le pays. Mais dans les zones non touchées par le tsunami, seuls 3% des bénéficiaires de ces fonds publics étaient des survivants de la catastrophe naturelle.
Source : Rfi.fr
Ou encore, à financer un programme de soutien aux baleiniers japonais, qui dans l’Antarctique capturent chaque année plus d’un millier de cétacés à des « fins scientifiques ». Ou à la promotion du vin et du fromage dans l’île d’Hokkaido, tout au nord, loin des zones dévastées.
Ce détournement de fonds publics destinés aux rescapés de la catastrophe naturelle a été toléré par le précédent gouvernement de centre-gauche avant les élections.
Un responsable du ministère de la Protection sociale risque une autre justification : les survivants étaient disséminés dans tout le pays. Mais dans les zones non touchées par le tsunami, seuls 3% des bénéficiaires de ces fonds publics étaient des survivants de la catastrophe naturelle.
Source : Rfi.fr