«Je joue au football comme je le faisais quand j'étais enfant. Je m'amuse toujours, c'est ma façon de jouer», a avoué Javier Pastore lors d'un entretien accordé au média argentin TyC Sports. A 30 ans et malgré de nombreuses blessures, El Flaco n'a pas perdu son amour du ballon rond. Une passion qu'il continue à vivre au quotidien en Italie où il défend désormais les couleurs de l'AS Roma. Mais cela pourrait ne plus être le cas très longtemps, puisque son nom revient avec insistance du côté de la Major League Soccer. Cela serait une nouvelle aventure dans la carrière de Javier Pastore, qui était encore un joueur du Paris Saint-Germain il n'y a pas si longtemps. En effet, il a quitté le club de la capitale en 2018 après sept années de bons et loyaux services.
«Ces dernières années, le Paris Saint-Germain a été supérieur aux autres formations du championnat de France. Il a des individualités très fortes. Plusieurs fois, les matches étaient pliés dès la première mi-temps et du coup vous ne continuiez pas à travailler sur le même rythme durant 90 minutes. C'est ce qu'il faut pourtant faire lors des rencontres de Ligue des Champions, où vous ne pouvez pas dormir ou lever le pied une seule seconde. En France, tu peux passer un mois à jouer contre des équipes qui te rendent faible ». A l'écouter, cela n'a donc pas aidé le PSG dans sa quête de Ligue des Champions.
«Je crois que ça aurait pu être meilleur. Beaucoup de gens me le disent. Quand je suis arrivé à Paris, je sortais d'une très bonne année à Palerme. Je me sentais leader sur le terrain. Quand des joueurs comme Ibra (Zlatan Ibrahimovic) sont arrivés, c'est lui qui a pris la responsabilité de l'équipe. Il était la star. Je n'ai pas arrêté de jouer mais je lui ai laissé occuper le rôle de star. J'ai toujours eu cette mentalité de vouloir gagner, mais je n'ai jamais pensé être le meilleur du monde». Un joueur qui a toutefois apporté sa pierre à l'édifice du PSG version QSI, dont il a été l'un des fers de lance.
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El Flaco taille la L1
Une expérience enrichissante à l'écouter. «C'était un projet très beau. J'ai beaucoup grandi en tant que joueur. J'ai joué avec des idoles, des références du football mondial. C'était magnifique de pouvoir partager cela avec tant de joueurs de ce niveau et d'avoir été dans ce club durant sept ans. J'ai été le premier (joueur) à arriver avec les nouveaux propriétaires du club en 2011 et j'ai pu le voir évoluer jusqu'au jour de mon départ. Il y a eu de nombreux changements, améliorant et permettant toujours de faire grandir l'équipe». Si le natif de Cordoba garde un excellent souvenir de son passage au sein de l'écurie francilienne, il n'a pas hésité à vider son sac au sujet de la Ligue 1, un championnat loin d'être au niveau de Paris selon lui.«Ces dernières années, le Paris Saint-Germain a été supérieur aux autres formations du championnat de France. Il a des individualités très fortes. Plusieurs fois, les matches étaient pliés dès la première mi-temps et du coup vous ne continuiez pas à travailler sur le même rythme durant 90 minutes. C'est ce qu'il faut pourtant faire lors des rencontres de Ligue des Champions, où vous ne pouvez pas dormir ou lever le pied une seule seconde. En France, tu peux passer un mois à jouer contre des équipes qui te rendent faible ». A l'écouter, cela n'a donc pas aidé le PSG dans sa quête de Ligue des Champions.
Pastore évoque Neymar et Ibra
Ce, malgré la présence de très grandes stars du ballon rond à l'image de Neymar. «Je sais que dans sa tête, il pense être le numéro un. Les conditions sont là, il s'entraîne très bien. A chaque match, quand il est bien, il peut le gagner tout seul. Il pourrait donner encore plus que ce qu'il donne à l'équipe. Chaque joueur doit se trouver au bon moment dans une équipe qui pourra l'aider à progresser et aller de l'avant. Ce qui n'est pas facile. Nous sommes en train de parler du niveau de Messi ou Cristiano. La mentalité il l'a, ainsi que les conditions». La mentalité, Javier Pastore l'avait aussi d'après lui.«Je crois que ça aurait pu être meilleur. Beaucoup de gens me le disent. Quand je suis arrivé à Paris, je sortais d'une très bonne année à Palerme. Je me sentais leader sur le terrain. Quand des joueurs comme Ibra (Zlatan Ibrahimovic) sont arrivés, c'est lui qui a pris la responsabilité de l'équipe. Il était la star. Je n'ai pas arrêté de jouer mais je lui ai laissé occuper le rôle de star. J'ai toujours eu cette mentalité de vouloir gagner, mais je n'ai jamais pensé être le meilleur du monde». Un joueur qui a toutefois apporté sa pierre à l'édifice du PSG version QSI, dont il a été l'un des fers de lance.
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