Ladite demande suit le cri du coeur du frère du président Sall selon qui, au Sénégal, le malheur est qu'on dénie tout privilège aux frères ou soeurs du président. Ce, d'autant plus sert-il, il n'y a pas quelqu'un qui s'est investi au niveau de l'Alliance Pour la République (APR) dont il a pris en charge le fonctionnement deux ans durant avant l'accession au pouvoir. Pour la petite histoire, narre-t-il:
"Karim Wade m'a appelé une fois dans son bureau, il m'a remis un million de franc, à ma sortie j'ai appelé le trésorier pour payer les arriérés de la permanence du parti. je lui ai donné 600.000 F CFA. J'ai gardé les 400.000 F CFA". Mais, "part loyauté, j'ai informé le président Sall,...".
Pis, avec Wade qui l'a traité de voleur, terme repris par un million de personne, Aliou Sall d'interpellé le ministre de l'Intérieur et de la Sécurité publique, Abdoulaye Daouda Diallo pour qu'il assure sa sécurité. Dans la mesure où "être le petit frère du président de la République l'expose". Ce qui n'est pas du tout normal, pour Aliou Sall qui n'entend toutefois pas "raser les murs".
"Karim Wade m'a appelé une fois dans son bureau, il m'a remis un million de franc, à ma sortie j'ai appelé le trésorier pour payer les arriérés de la permanence du parti. je lui ai donné 600.000 F CFA. J'ai gardé les 400.000 F CFA". Mais, "part loyauté, j'ai informé le président Sall,...".
Pis, avec Wade qui l'a traité de voleur, terme repris par un million de personne, Aliou Sall d'interpellé le ministre de l'Intérieur et de la Sécurité publique, Abdoulaye Daouda Diallo pour qu'il assure sa sécurité. Dans la mesure où "être le petit frère du président de la République l'expose". Ce qui n'est pas du tout normal, pour Aliou Sall qui n'entend toutefois pas "raser les murs".