« Une procédure judiciaire a été mise en branle contre moi et ma famille avec tous les vexations que l’on connait… », entame l’ancien ministre de l’Intérieur sous Wade qui martèle n’avoir pas du tout « transigé ». « Je n’ai commis aucun délit Je n’ai jamais été convoqué à la CREI (Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite). Il y a une enquête qui a été menée par les services de police et de gendarmerie (une enquête de patrimoine) depuis plus de deux ans (2) ans et qui a aussi concernée toute ma famille et mes proches. Depuis lors, aucune suite n’a été donnée à cette affaire. C’est pourquoi, je ne peux pas considérer que je suis devant la CREI mais je souhaite être édifié sur les conclusions de cette enquête pour être définitivement fixé », charge Ousmane Ngom qui ne manque pas de se prononcer sur la fumeuse sortie de Wade contre son successeur, Macky Sall. Ceci, pour les regretter.
«J’avoue que j’ai été meurtri et profondément meurtri. J’ai ressenti une indignation sans limite quand j’ai pris connaissance de ces propos que personne et vraiment personne ne peut qualifier. Ces propos heurtent les valeurs, de notre civilisation, de la République et les piliers de nos croyances religieuses. Au-delà de Macky, tous les Sénégalais doivent se sentir blessés et habités par une grande amertume car de tels propos ébranlent et mettent en péril les fondements de la société sénégalaise dans son entièreté ».
Ousmane Ngom dans « l’Observateur », explique son mutisme en ces termes : « C’est un choix délibéré…Lorsque le vent se soulève et qu’il y a beaucoup de poussière, il y a forcément aussi beaucoup de confusion et d’amalgame. Il faut donc attendre qu’il se dissipe pour qu’on puisse y voir plus clair ».
«J’avoue que j’ai été meurtri et profondément meurtri. J’ai ressenti une indignation sans limite quand j’ai pris connaissance de ces propos que personne et vraiment personne ne peut qualifier. Ces propos heurtent les valeurs, de notre civilisation, de la République et les piliers de nos croyances religieuses. Au-delà de Macky, tous les Sénégalais doivent se sentir blessés et habités par une grande amertume car de tels propos ébranlent et mettent en péril les fondements de la société sénégalaise dans son entièreté ».
Ousmane Ngom dans « l’Observateur », explique son mutisme en ces termes : « C’est un choix délibéré…Lorsque le vent se soulève et qu’il y a beaucoup de poussière, il y a forcément aussi beaucoup de confusion et d’amalgame. Il faut donc attendre qu’il se dissipe pour qu’on puisse y voir plus clair ».