“Tout ce que l’on veut, en tant que parent, c’est protéger son enfant”, a déclaré Meghan Markle dans l’émission matinale américaine “CBS Sunday Morning”. “Lorsqu'on voit tout ce qui se passe en ligne, on se dit qu’il a encore beaucoup de travail à faire dans ce domaine. Nous sommes ravis de pouvoir contribuer à ces changements positifs avec l’initiative ‘Parents Network’”, a-t-elle ajouté. La campagne “Parents network”, lancée par Meghan Markle et le prince Harry, vise à aider les parents dont les enfants sont victimes de cyberharcèlement.
“De nos jours, chaque parent devrait être le premier conseiller de son enfant”, a ajouté le prince Harry. “Mais même lorsqu’on a les meilleurs conseils du monde, on n’est pas toujours capables de reconnaître les signes avant-coureurs du suicide. C’est terrifiant.” Selon les Sussex, les réseaux sociaux jouent un rôle crucial dans le développement de pensées suicidaires chez les enfants. Au cours de la discussion, Meghan Markle s’est confiée avec émotion sur son propre combat contre les idées noires.
“Je suis prête à accepter les critiques”
“Je ne souhaite cela à personne, je voudrais que jamais plus quelqu’un n’élabore ce type de stratégies dans sa tête, je voudrais que, plus jamais, quelqu’un ne soit pas cru”, a-t-elle déclaré sur CBS. “Lorsque vous avez traversé un certain niveau de douleur ou de traumatisme, je crois qu’une partie de notre parcours de guérison - et certainement une partie du mien - consiste à pouvoir être vraiment ouvert sur le sujet. Si je peux sauver d’autres personnes en disant tout haut ce que j’ai vécu (...), alors ça en vaut la peine. Je suis prête à accepter toutes les critiques et tous les commentaires négatifs.” À travers son témoignage, la femme du prince Harry espère également encourager les proches de personnes en souffrance à leur venir en aide.
Ces propos font écho à l’interview de Meghan Markle avec Oprah Winfrey en 2021, dans laquelle elle révélait avoir eu des pensées suicidaires pendant sa grossesse. “Je ne voulais tout simplement plus être en vie. Et c’étaient des pensées constantes, terrifiantes, réelles et très claires”, avait-elle confié à l’époque, mettant son état psychologique sur le compte de la couverture agressive des médias britanniques. L’ancienne actrice hollywoodienne avait par ailleurs expliqué avoir demandé de l’aide à l’institution royale, évoquant une possible prise en charge médicale. “On m’a dit que je ne pouvais pas, que ce ne serait pas bon pour l’institution”, avait-elle expliqué. Aujourd'hui, la duchesse de Sussex souhaite donc utiliser cette douloureuse épreuve pour venir en aide aux personnes souffrant de pensées suicidaires.
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