Le Secrétaire général du Parti Socialiste (PS) n’a pas raté l’occasion du meeting du Mouvement national des jeunesses féminines socialistes pour apporter des précisions sur son compagnonnage avec le président de la République dans la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY).
«Je ne suis pas du genre à jeter des fleurs à qui que ce soit. Le président Macky Sall (le) sait très bien. Je lui dis ce que je pense et nous discutons, parce que pour moi, nous sommes des partenaires…», souligne Ousmane Tanor Dieng.
Saluant le leadership du président Macky Sall, le socialiste en chef d’indiquer: «Nous sommes à l’ère des coalitions. Nous avons été les premiers à l’avoir compris. C’est pourquoi, pour ma part, je suis convaincu que le Sénégal de demain est le Sénégal des coalitions. Et la nôtre, BBY, chaque jour, chaque mois, on prévoit son éclatement, sa disparition et de jour en jour, nous nous rapprochons».
Invitant ses camarades à «prendre très au sérieux» les élections législatives du 30 juillet 2017, le Secrétaire général du PS est conscient que le Chef de l’Etat a besoin «d’une majorité solide (et) forte pour terminer son mandat».
«La condition est que nous pouvons gagner, la condition est que nous devons gagner et nous gagnerons si Dieu le veut», a-t-il déclaré.
Sous la houlette de leur présidente Yeya Diallo, les jeunesses féminines socialistes ont promis d’être «les amazones de la coalition BBY (et) porter le programme face à une opposition qui verse dans le mensonge, dans la vulgarité…».
«Je ne suis pas du genre à jeter des fleurs à qui que ce soit. Le président Macky Sall (le) sait très bien. Je lui dis ce que je pense et nous discutons, parce que pour moi, nous sommes des partenaires…», souligne Ousmane Tanor Dieng.
Saluant le leadership du président Macky Sall, le socialiste en chef d’indiquer: «Nous sommes à l’ère des coalitions. Nous avons été les premiers à l’avoir compris. C’est pourquoi, pour ma part, je suis convaincu que le Sénégal de demain est le Sénégal des coalitions. Et la nôtre, BBY, chaque jour, chaque mois, on prévoit son éclatement, sa disparition et de jour en jour, nous nous rapprochons».
Invitant ses camarades à «prendre très au sérieux» les élections législatives du 30 juillet 2017, le Secrétaire général du PS est conscient que le Chef de l’Etat a besoin «d’une majorité solide (et) forte pour terminer son mandat».
«La condition est que nous pouvons gagner, la condition est que nous devons gagner et nous gagnerons si Dieu le veut», a-t-il déclaré.
Sous la houlette de leur présidente Yeya Diallo, les jeunesses féminines socialistes ont promis d’être «les amazones de la coalition BBY (et) porter le programme face à une opposition qui verse dans le mensonge, dans la vulgarité…».
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