La femme qui avait brûlé vif, le 6 novembre 2018, son époux, Khadim Ndiaye a fait face au Doyen des juges du 8e cabinet, lundi pour être entendue sur le fond. Emprisonnée depuis décembre 2018, Aida Mbacké a plaidé non-coupable lors de son audition avec le magistrat instructeur. Elle a avoué avoir tué son mari mais, elle ignore ce qui l’a poussée à commettre un tel acte. Elle a présenté ses excuses pour son acte qui a coûté la vie à son époux, qui fut disciple de son père.
« Je ne l’ai pas brûlé avec de l’essence. J’ai utilisé du diluant. On l’avait acheté pour le vernissage de nos meubles. Je ne voulais pas le tuer. Je n’en avais pas l’intention. J’étais en colère quand il m’a annoncé ses secondes noces. Je ne pouvais plus me contrôler. J’ai agi sous le coup de la colère. Je lui ai dit puisqu’il avait pris une deuxième épouse, nous allions tous mourir », aurait confié Aïda mbacké.
Les avocats de la défense sont en train de monter un dossier médical pour sortir leur cliente des griffes de la justice. Ils vont d'ailleurs introduire une demande d’expertise psychiatrique afin de connaitre dans quel état leur cliente était au moment de commettre le meurtre.
« Je ne l’ai pas brûlé avec de l’essence. J’ai utilisé du diluant. On l’avait acheté pour le vernissage de nos meubles. Je ne voulais pas le tuer. Je n’en avais pas l’intention. J’étais en colère quand il m’a annoncé ses secondes noces. Je ne pouvais plus me contrôler. J’ai agi sous le coup de la colère. Je lui ai dit puisqu’il avait pris une deuxième épouse, nous allions tous mourir », aurait confié Aïda mbacké.
Les avocats de la défense sont en train de monter un dossier médical pour sortir leur cliente des griffes de la justice. Ils vont d'ailleurs introduire une demande d’expertise psychiatrique afin de connaitre dans quel état leur cliente était au moment de commettre le meurtre.