Après la sortie de Thierno Alassane Sall, qui s’est livré à un jeu de clash contre le tandem Sonko–Diomaye et leur gestion du pays, la riposte de Pastef ne s’est pas fait attendre.
Ce mercredi, la jeunesse de Pastef, par la voix de son coordonnateur Ngagne Demba Touré et de son vice-coordonnateur Jean Michel Sène, a tenu une conférence de presse pour répondre aux « allégations » du député Thierno Alassane Sall.
Lors de sa prise de parole, Jean Michel Sène a renouvelé son invitation à un débat public avec Thierno Alassane Sall, afin d’éclairer l’opinion sur les propos de ce dernier concernant le prix du carburant.
Selon le vice-coordonnateur de la jeunesse patriotique, la hausse du prix du carburant évoquée par le député de l’opposition s’explique par des facteurs aussi bien internationaux que locaux.
« Le coût élevé est lié à des facteurs exogènes, comme la forte demande sur le marché mondial, mais aussi à des éléments endogènes, avec le début de notre propre production nationale. Le président a d’ailleurs apporté des éclaircissements à ce sujet », a-t-il déclaré.
Et d’ajouter : « Ceux qui affirment que le carburant est plus cher au Sénégal qu’ailleurs ignorent la réalité ou font preuve de mauvaise foi. Le prix du carburant dépend de nombreuses composantes, bien au-delà du prix du baril brut. »
Jean Michel Sène a rappelé que le Sénégal achète le pétrole au prix du marché mondial, en devises étrangères, car les contrats signés avec les compagnies pétrolières ne prévoient pas de tarifs préférentiels, que ce soit pour l’importation ou pour l’exploitation des ressources nationales.
Il a également souligné que l’indépendance énergétique constitue un axe stratégique pour le pays. Le Sénégal s’est fixé pour objectif de réduire sa dépendance aux énergies fossiles (pétrole, charbon, gaz) en investissant massivement dans les énergies renouvelables, telles que le solaire, l’hydroélectricité et l’éolien.
En tant que patron de l’Agence Sénégalaise d’Électrification Rurale (ASER), Jean Michel Sène a précisé que le Sénégal bénéficie actuellement d’un prix contractuel oscillant entre 20 et 30 dollars le baril sur le marché libre, contre 52 dollars en moyenne, grâce aux appels d’offres.
Enfin, il a indiqué que la capacité actuelle de raffinage du pays est estimée à 1,5 million de tonnes par an, alors que les besoins nationaux avoisinent les 3 millions de tonnes.
Ce mercredi, la jeunesse de Pastef, par la voix de son coordonnateur Ngagne Demba Touré et de son vice-coordonnateur Jean Michel Sène, a tenu une conférence de presse pour répondre aux « allégations » du député Thierno Alassane Sall.
Lors de sa prise de parole, Jean Michel Sène a renouvelé son invitation à un débat public avec Thierno Alassane Sall, afin d’éclairer l’opinion sur les propos de ce dernier concernant le prix du carburant.
Selon le vice-coordonnateur de la jeunesse patriotique, la hausse du prix du carburant évoquée par le député de l’opposition s’explique par des facteurs aussi bien internationaux que locaux.
« Le coût élevé est lié à des facteurs exogènes, comme la forte demande sur le marché mondial, mais aussi à des éléments endogènes, avec le début de notre propre production nationale. Le président a d’ailleurs apporté des éclaircissements à ce sujet », a-t-il déclaré.
Et d’ajouter : « Ceux qui affirment que le carburant est plus cher au Sénégal qu’ailleurs ignorent la réalité ou font preuve de mauvaise foi. Le prix du carburant dépend de nombreuses composantes, bien au-delà du prix du baril brut. »
Jean Michel Sène a rappelé que le Sénégal achète le pétrole au prix du marché mondial, en devises étrangères, car les contrats signés avec les compagnies pétrolières ne prévoient pas de tarifs préférentiels, que ce soit pour l’importation ou pour l’exploitation des ressources nationales.
Il a également souligné que l’indépendance énergétique constitue un axe stratégique pour le pays. Le Sénégal s’est fixé pour objectif de réduire sa dépendance aux énergies fossiles (pétrole, charbon, gaz) en investissant massivement dans les énergies renouvelables, telles que le solaire, l’hydroélectricité et l’éolien.
En tant que patron de l’Agence Sénégalaise d’Électrification Rurale (ASER), Jean Michel Sène a précisé que le Sénégal bénéficie actuellement d’un prix contractuel oscillant entre 20 et 30 dollars le baril sur le marché libre, contre 52 dollars en moyenne, grâce aux appels d’offres.
Enfin, il a indiqué que la capacité actuelle de raffinage du pays est estimée à 1,5 million de tonnes par an, alors que les besoins nationaux avoisinent les 3 millions de tonnes.
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