Le contenu des réformes institutionnelles annoncées par le Président Macky Sall tout comme la date non encore connue du référendum continuent d’alimenter les débats chez les praticiens du droit. Au niveau des acteurs politiques, la polémique enfle puisqu’il s’agit d’attaques suivies de contre-attaques. La dernière en date est la sortie du porte-parole du Réseau national des enseignants de l’Apr, qui a tenu à porter la réplique à Jean Paul Dias.
En effet, le patron du Bcg a récemment fait savoir qu’aucun référendum n’est prévu, non sans se démarquer des propositions de réformes que le Chef de l’Etat souhaite soumettre à l’appréciation des Sénégalais. « Je suis désolé et abattu par la position dégagée par Jean Paul Dias qui a perdu l’occasion de se taire à jamais. En tant qu’allié du Président Sall, il pouvait avoir un autre langage que celui utilisé pour tirer à boulets rouges sur les propositions de réformes qu’a annoncé le Président Macky Sall lors de son discours solennel à la nation prononcé le 31 décembre », a dit Adama Fall. Avant d’ajouter dans "Libération": « Vraiment, nous lui conseillons d’aller revoir ses cours en droit puisqu’il a porté des critiques sans connaître l’objectif de ces réformes…».
A l’en croire, conformément à l’article 51 de la constitution, le Président Sall a l’obligation de demander l’avis du conseil constitutionnel et de l’Assemblée nationale.
En effet, le patron du Bcg a récemment fait savoir qu’aucun référendum n’est prévu, non sans se démarquer des propositions de réformes que le Chef de l’Etat souhaite soumettre à l’appréciation des Sénégalais. « Je suis désolé et abattu par la position dégagée par Jean Paul Dias qui a perdu l’occasion de se taire à jamais. En tant qu’allié du Président Sall, il pouvait avoir un autre langage que celui utilisé pour tirer à boulets rouges sur les propositions de réformes qu’a annoncé le Président Macky Sall lors de son discours solennel à la nation prononcé le 31 décembre », a dit Adama Fall. Avant d’ajouter dans "Libération": « Vraiment, nous lui conseillons d’aller revoir ses cours en droit puisqu’il a porté des critiques sans connaître l’objectif de ces réformes…».
A l’en croire, conformément à l’article 51 de la constitution, le Président Sall a l’obligation de demander l’avis du conseil constitutionnel et de l’Assemblée nationale.
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