Vendredi, "je serai candidat au poste d'administrateur de l'EPAD, devant l'assemblée départementale, mais si je suis élu, je ne briguerai pas la présidence de cet établissement public", a déclaré le jeune conseiller général des Hauts-de-Seine sur France 2. L'annonce de sa candidature avait suscité une violente polémique. L'élection du président de l'EPAD doit avoir lieu lors du prochain conseil d'administration le 4 décembre.
"Je ne veux pas d'une victoire entachée de soupçon", a expliqué fils du chef de l'Etat, âgé de 23 ans, dénonçant "beaucoup d'excès, beaucoup de caricatures, beaucoup d'outrance". "Mais il y a du vrai aussi. J'ai beaucoup écouté j'ai beaucoup réfléchi", a-t-il dit. "C'est une décision que je prends en mon âme et conscience, qui n'est pas évidente, qui est difficile".
Evoquant un "choix de raison" fait "seul", il a insisté qu'il ne voulait "pas de ce soupçon de favoritisme, de passe-droit, de traitement de faveur". Il a affirmé en avoir parlé avec son "père" mais pas au "président" de la République.
"Ce n'est donc pas un problème de légitimité. J'ai été élu", a-t-il souligné.
Jean Sarkozy a expliqué souhaiter devenir administrateur de l'EPAD en raison de ses "convictions", "parce que j'ai des idées, que je veux défendre pour ce quartier d'affaires", a-t-il dit. "Je le ferai comme administrateur, je le ferai humblement, je le ferai en travaillant comme je le ferai depuis deux ans".
"Face à tout ce qui a été dit, (...) j'ai voulu surtout être conscient qu'on ne fait pas de la politique tout seul. On fait de la politique parce qu'on aime les gens. Et quand on aime les gens, on veut les comprendre. Et quand on veut les comprendre, on se met à leur place", a-t-il poursuivi, "c'est pour ça que j'ai pris cette décision".
"Il n'y a aucune amertume chez moi", a assuré Jean Sarkozy, "les critiques font partie du combat politique". "Mon devoir est de prendre conscience d'une situation qui peut me dépasser (...) et je ne suis pas sot, je ne suis pas aveugle, et je décide en conséquence".
"J'ai beaucoup appris de ce qui n'est pas un échec, qui est une épreuve qu'il faut traverser (...) dont il faut tirer les leçons", a-t-il précisé. "Ce qu'on a dit, c'est est-ce qu'on peut être à 23 ans capable de maturité? J'ai dit: laissons parler les actes".
Quant à savoir s'il se représenterait à la présidence de l'EPAD à l'avenir, ou à celle du conseil général des Hauts-de-Seine, Jean Sarkozy a souligné que "la question n'est pas d'actualité".
Associated Press
"Je ne veux pas d'une victoire entachée de soupçon", a expliqué fils du chef de l'Etat, âgé de 23 ans, dénonçant "beaucoup d'excès, beaucoup de caricatures, beaucoup d'outrance". "Mais il y a du vrai aussi. J'ai beaucoup écouté j'ai beaucoup réfléchi", a-t-il dit. "C'est une décision que je prends en mon âme et conscience, qui n'est pas évidente, qui est difficile".
Evoquant un "choix de raison" fait "seul", il a insisté qu'il ne voulait "pas de ce soupçon de favoritisme, de passe-droit, de traitement de faveur". Il a affirmé en avoir parlé avec son "père" mais pas au "président" de la République.
"Ce n'est donc pas un problème de légitimité. J'ai été élu", a-t-il souligné.
Jean Sarkozy a expliqué souhaiter devenir administrateur de l'EPAD en raison de ses "convictions", "parce que j'ai des idées, que je veux défendre pour ce quartier d'affaires", a-t-il dit. "Je le ferai comme administrateur, je le ferai humblement, je le ferai en travaillant comme je le ferai depuis deux ans".
"Face à tout ce qui a été dit, (...) j'ai voulu surtout être conscient qu'on ne fait pas de la politique tout seul. On fait de la politique parce qu'on aime les gens. Et quand on aime les gens, on veut les comprendre. Et quand on veut les comprendre, on se met à leur place", a-t-il poursuivi, "c'est pour ça que j'ai pris cette décision".
"Il n'y a aucune amertume chez moi", a assuré Jean Sarkozy, "les critiques font partie du combat politique". "Mon devoir est de prendre conscience d'une situation qui peut me dépasser (...) et je ne suis pas sot, je ne suis pas aveugle, et je décide en conséquence".
"J'ai beaucoup appris de ce qui n'est pas un échec, qui est une épreuve qu'il faut traverser (...) dont il faut tirer les leçons", a-t-il précisé. "Ce qu'on a dit, c'est est-ce qu'on peut être à 23 ans capable de maturité? J'ai dit: laissons parler les actes".
Quant à savoir s'il se représenterait à la présidence de l'EPAD à l'avenir, ou à celle du conseil général des Hauts-de-Seine, Jean Sarkozy a souligné que "la question n'est pas d'actualité".
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