Les arrestations lors de la visite du président de la République Macky Sall livrent leurs premiers secrets. Selon des sources dignes de foi, les forces de l'ordre ont mis la main sur trois étudiants parmi ceux qui ont jeté des pierres au président. En sus des trois personnes gardées à vue dans les locaux du Commissariat, d’autres personnes sont déjà pistes. Des cadres de l’Administration de la police confient qu’une vingtaines de personnes sont déjà sur la liste dressée par la police.
La hiérarchie policière a réquisitionné des caméras vidéos ayant filmé les scènes de violence dans le campus. Certains d’entre eux sont déjà identifiés. Les éléments de la police sont entrain de procéder aux recoupements pour décliner leur identité et connaitre leurs adresses. L’Etat promet l’enfer aux « fauteurs de troubles ». Déjà, l’on souffle que les autorités ont opté pour la répression des actes commis vendredi dernier. Car les délits qui risquent d’être retenus contre ces suspects vont dans le sens de corser le dossier.
Un procès en flagrant délit ou en correctionnel est, pour le moment, totalement exclu, compte tenu des délits visés. Les autorités judiciaires qui vont se saisir du dossier les poursuivront pour attentat à la vie du président de la République. A en croire toujours notre source, ces jeunes seraient du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) puisqu'ils ont déclaré avoir quitté la permanence du PDS pour rejoindre l'université. Une chose qui semble fort probable, car les responsables libéraux ont été les premiers à faire des sorties dénonçant les arrestations, révèle le journal « L’Observateur ».
La hiérarchie policière a réquisitionné des caméras vidéos ayant filmé les scènes de violence dans le campus. Certains d’entre eux sont déjà identifiés. Les éléments de la police sont entrain de procéder aux recoupements pour décliner leur identité et connaitre leurs adresses. L’Etat promet l’enfer aux « fauteurs de troubles ». Déjà, l’on souffle que les autorités ont opté pour la répression des actes commis vendredi dernier. Car les délits qui risquent d’être retenus contre ces suspects vont dans le sens de corser le dossier.
Un procès en flagrant délit ou en correctionnel est, pour le moment, totalement exclu, compte tenu des délits visés. Les autorités judiciaires qui vont se saisir du dossier les poursuivront pour attentat à la vie du président de la République. A en croire toujours notre source, ces jeunes seraient du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) puisqu'ils ont déclaré avoir quitté la permanence du PDS pour rejoindre l'université. Une chose qui semble fort probable, car les responsables libéraux ont été les premiers à faire des sorties dénonçant les arrestations, révèle le journal « L’Observateur ».