Joe Biden n’aime pas particulièrement l’exercice, et pourtant pendant presque deux heures, il s’y est plié, expliquant même qu’il avait l’énergie pour rester encore plus longtemps : il s'est déjà projeté pour l'élection 2024 avec Kamala Harris, sa vice-présidente.
Le démocrate a défendu le bilan de sa première année de mandat. Depuis son investiture le 20 janvier 2021, les Etats-Unis ont selon lui connu « une année de défis mais aussi une année d'énormes progrès ». Il a souligné que 75% des adultes américains étaient désormais entièrement vaccinés, contre 1% quand son administration a pris les rênes. Le président a aussi vanté des « créations d'emplois record », une « croissance record ».
Mais il est bien obligé de constater ses difficultés : « Je comprends l’énorme frustration, la crainte et les inquiétudes face à l’inflation et au Covid. J’ai bien saisi », a-t-il déclaré.
Joe Biden a aussi reconnu que deux réformes majeures sont bloquées au Sénat par sa propre majorité et notamment son plan de dépense social et climatique. « J’ai bon espoir que nous puissions obtenir des parties, de larges pans du plan de dépenses. Et je connais assez peu de choses qui ont été faites d’un seul coup. Je pense qu’on peut le découper en plusieurs parties, obtenir ce que nous pouvons maintenant et revenir plus tard pour obtenir le reste »
Et c’est la même chose pour ses projets de lois pour protéger l’accès au vote de tous les Américains. Joe Biden soutient un changement des règles du Sénat pour adopter des lois protégeant le droit de vote des minorités. mais les Républicains ont fait barrage. « Je n’avais pas vu venir un effort aussi vigoureux pour s’assurer que le plus important c’était que le président Biden ne puisse rien faire », a regretté Joe Biden. Plus tard dans la nuit, le Sénat a enterré pour de bon cette réforme électorale.
Le démocrate a défendu le bilan de sa première année de mandat. Depuis son investiture le 20 janvier 2021, les Etats-Unis ont selon lui connu « une année de défis mais aussi une année d'énormes progrès ». Il a souligné que 75% des adultes américains étaient désormais entièrement vaccinés, contre 1% quand son administration a pris les rênes. Le président a aussi vanté des « créations d'emplois record », une « croissance record ».
Mais il est bien obligé de constater ses difficultés : « Je comprends l’énorme frustration, la crainte et les inquiétudes face à l’inflation et au Covid. J’ai bien saisi », a-t-il déclaré.
Joe Biden a aussi reconnu que deux réformes majeures sont bloquées au Sénat par sa propre majorité et notamment son plan de dépense social et climatique. « J’ai bon espoir que nous puissions obtenir des parties, de larges pans du plan de dépenses. Et je connais assez peu de choses qui ont été faites d’un seul coup. Je pense qu’on peut le découper en plusieurs parties, obtenir ce que nous pouvons maintenant et revenir plus tard pour obtenir le reste »
Et c’est la même chose pour ses projets de lois pour protéger l’accès au vote de tous les Américains. Joe Biden soutient un changement des règles du Sénat pour adopter des lois protégeant le droit de vote des minorités. mais les Républicains ont fait barrage. « Je n’avais pas vu venir un effort aussi vigoureux pour s’assurer que le plus important c’était que le président Biden ne puisse rien faire », a regretté Joe Biden. Plus tard dans la nuit, le Sénat a enterré pour de bon cette réforme électorale.