« Autrefois le Rat de ville invita le Rat des champs d'une façon fort civile a des reliefs d'ortolant sur un tapis de turquis le couvert se trouvas mis je laisse à penser la vie que firent ces deux amis le régal fut fort honnête rien ne manquait aux festins mais quelqu'un troubla la fête pendant qu'ils étés en tain. (…) ». Des paroles de la chanson « Le Rat De Ville Et Le Rat Des Champs » de Jean de la Fontaine. Aujourd’hui samedi 8 septembre quelqu’un est venu de la banlieue pour gâter la fête de lancement de la radio de l’homme politique Thierno Lô, Siweul FM. Il s’agit de notre confrère et non moins grand frère Adama Sow. Il pense qu’il existe des journalistes et animateurs de la banlieue et donc en face certainement de journalistes et d’animateurs de la ville. Même s’il n’a pas parlé de ces derniers. Pour Sow, les vedettes, les stars dans ce lot au niveau des radios et télévisions de la place sont de la banlieue. Comme exemple il commence par citer lui-même son nom.
Bravo pour tous ces journalistes originaires de la banlieue mais chers amis banlieusards avez-vous besoin de cette stigmatisation ? Je pense que non même si vous aimez bien votre localité. Si c’est le cas cela devient dangereux. Le journaliste travaille pour un public intégré dans toute la Nation et a les compétences pour prendre en compte les spécificités de chaque couche de la population. Le reste c’est de la stratégie et des évolutions c’est pourquoi à côté des radios généralistes il y a des radios communautaires.
C’est juste une réaction sur le vif d’un commentaire qui m’a heurté peut-être cela ne signifie absolument rien ! Mais c’est regrettable quand ça vient de quelqu’un qui peut-être une référence dans le milieu de la presse sénégalaise. Quelqu’un qui a participé à la réflexion sur le projet de nouveau code de la presse sénégalaise.
Bravo pour tous ces journalistes originaires de la banlieue mais chers amis banlieusards avez-vous besoin de cette stigmatisation ? Je pense que non même si vous aimez bien votre localité. Si c’est le cas cela devient dangereux. Le journaliste travaille pour un public intégré dans toute la Nation et a les compétences pour prendre en compte les spécificités de chaque couche de la population. Le reste c’est de la stratégie et des évolutions c’est pourquoi à côté des radios généralistes il y a des radios communautaires.
C’est juste une réaction sur le vif d’un commentaire qui m’a heurté peut-être cela ne signifie absolument rien ! Mais c’est regrettable quand ça vient de quelqu’un qui peut-être une référence dans le milieu de la presse sénégalaise. Quelqu’un qui a participé à la réflexion sur le projet de nouveau code de la presse sénégalaise.