Selon un communiqué de l’Ambassade d’Israël à Dakar, dont Pressafrik a une copie, la cérémonie officielle sera présidée par Mary Teuw NIANE, ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche.
La manifestation est organisée en collaboration avec la commission Nationale Sénégalaise pour l’UNESCO, l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar et le Centre d’Information des Nations Unies (CINU), verra la participation d’enseignants et d’autres acteurs de l’éducation, de l’Ambassadeur du Rwanda et d’autres représentations diplomatiques accréditées dans notre pays.
Il sera question également au cours de cet évènement d’outiller la jeunesse sur « l’importance de promouvoir la paix internationale en les incitant à s’approprier les notions de tolérances, de justice et de compréhension mutuelle.
L’holocauste, selon nos recherches, est le sacrifice par le feu d’un animal après immolation. Pratiqué par les Grecs dans le cadre des rituels chthoniens, il l’est aussi dans la tradition israélite. Utilisé dès le XIXème siècle dans les langues françaises et anglaise pour désigner le meurtre à grande échelle d’un groupe social ou ethnique, il devient l’un des termes employés après la seconde guerre mondiale pour tenter de caractériser le massacre systématique et ciblé des Juifs par l’Allemagne nazie, celui de shoah n’étant pas encore accepté.
La manifestation est organisée en collaboration avec la commission Nationale Sénégalaise pour l’UNESCO, l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar et le Centre d’Information des Nations Unies (CINU), verra la participation d’enseignants et d’autres acteurs de l’éducation, de l’Ambassadeur du Rwanda et d’autres représentations diplomatiques accréditées dans notre pays.
Il sera question également au cours de cet évènement d’outiller la jeunesse sur « l’importance de promouvoir la paix internationale en les incitant à s’approprier les notions de tolérances, de justice et de compréhension mutuelle.
L’holocauste, selon nos recherches, est le sacrifice par le feu d’un animal après immolation. Pratiqué par les Grecs dans le cadre des rituels chthoniens, il l’est aussi dans la tradition israélite. Utilisé dès le XIXème siècle dans les langues françaises et anglaise pour désigner le meurtre à grande échelle d’un groupe social ou ethnique, il devient l’un des termes employés après la seconde guerre mondiale pour tenter de caractériser le massacre systématique et ciblé des Juifs par l’Allemagne nazie, celui de shoah n’étant pas encore accepté.