Cette journée de réflexion sur la diversité des démocraties a pour objectif principal le partage des expériences des pays démocratiques ou des pays en train de se démocratiser comme la République de Guinée, la Tunisie, l’Egypte, pour ne citer que ceux-là. Après le cérémonial d’ouverture, le reste de la journée a été subdivisé en 4 panels sur des thèmes axés principalement sur la démocratie.
Dans le panel intitulé qu’est ce que la démocratie animé par le Professeur Mamoussé Diagne, agrégé de philosophie, la démocratie a été exposé sur plusieurs angles, mais axée sur les écrits de Jean Jacques Rousseau et de la charte de courkanfouca. « L’article 1 de la charte de Courkanfouca énoncé 5 siècles avant la révolution française, dit : toute vie est vie, aucune vie n’est plus vie ou moins vie qu’une autre vie. C’est parce que la démocratie est un concept problématique, le principe une voix - un homme est un fondement de l’égalité civile. Mais sur la base de ce principe d’un tel principe 51 idiots incompétents sont bien fondés pour gouverner 41 sages ».
Le panel sur les sociétés multiculture : quelle place pour les communautés dans la démocratie ? a servi de cadre pour le Pr Christian Bouquet, vice-président délégué aux relations internationales de l’Université Bordeaux 3, en France, de dénicher la place des autres communautés dans la démocratie française.
Après chaque panel, une vingtaine de minutes était offertes au public afin de réagir sous forme de débat intellectuel. Pour Mamssour Aw, Historien et participant, il n’y a pas de démocratie universelle ou un modèle démocratique.
Le groupe des amis de la francophonie, organisateur de cette journée de réflexion, est constitué des Ambassades des Etats et gouvernements membres de l’Organisation Internationale de la Francophonie au Sénégal, des organisations de la Francophonie présentes à Dakar et des amis de l’organisation de la francophonie, présidée par son excellence Mme Muriel Berset Kohen, Ambassadeur de Suisse au sénégal.
Dans le panel intitulé qu’est ce que la démocratie animé par le Professeur Mamoussé Diagne, agrégé de philosophie, la démocratie a été exposé sur plusieurs angles, mais axée sur les écrits de Jean Jacques Rousseau et de la charte de courkanfouca. « L’article 1 de la charte de Courkanfouca énoncé 5 siècles avant la révolution française, dit : toute vie est vie, aucune vie n’est plus vie ou moins vie qu’une autre vie. C’est parce que la démocratie est un concept problématique, le principe une voix - un homme est un fondement de l’égalité civile. Mais sur la base de ce principe d’un tel principe 51 idiots incompétents sont bien fondés pour gouverner 41 sages ».
Le panel sur les sociétés multiculture : quelle place pour les communautés dans la démocratie ? a servi de cadre pour le Pr Christian Bouquet, vice-président délégué aux relations internationales de l’Université Bordeaux 3, en France, de dénicher la place des autres communautés dans la démocratie française.
Après chaque panel, une vingtaine de minutes était offertes au public afin de réagir sous forme de débat intellectuel. Pour Mamssour Aw, Historien et participant, il n’y a pas de démocratie universelle ou un modèle démocratique.
Le groupe des amis de la francophonie, organisateur de cette journée de réflexion, est constitué des Ambassades des Etats et gouvernements membres de l’Organisation Internationale de la Francophonie au Sénégal, des organisations de la Francophonie présentes à Dakar et des amis de l’organisation de la francophonie, présidée par son excellence Mme Muriel Berset Kohen, Ambassadeur de Suisse au sénégal.
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