Maître Abdoulaye Wade Président de la République qui lors du conseil interministériel sur le sujet si préoccupant des enfants de
la rue déclara sans ambages : «Tous m'ont conforté dans ma conviction que le triste sort fait aux talibés, haillons, pieds nus, errant sans cesse à la quête d'une
pitance aléatoire et exposés aux pires formes d'exploitation et de délinquance, est une pratique qui n'est conforme ni à nos valeurs traditionnelles, ni aux enseignements authentiques de la religion. Elle est légalement condamnable et moralement ».
Les éditions de la journée du talibé se suivent et se ressemblent avec les mêmes scénarios de dénonciation des situations de misère que vivent les talibés, le pot à la main, quémandant dans les rues de quoi atténuer la faim qui les ronge. Ce tableau dégradant connu des touristes est un signe manifeste de dénuement qui les accable et à tout temps. Cette disette alimentaire les torture atrocement. Toutes ces images défilent sous nos yeux dans notre environnement immédiat. Le mal ambiant persiste et continue de faire des ravages dans cette frange la plus faible de notre société sénégalaise de téranga, jadis d’entraide mutuelle.
Les talibés consacrent plus de temps dans la rue que dans l’enceinte de leur daaras, loin de leur maître coranique. Dés lors, ils constituent un pan des enfants de la rue, cible de toute déviation parce que la rue en partie appartient aux adultes véreux.
Au fait, originellement, un talibé est un jeune élève qui fréquente une école coranique et apprend auprès du marabout, nous rappelle la conscience collective. Les talibés continuent de mener la quête alimentaire. C’est à la vue de tout le monde Il n’est plus normal d’être un spectateur passif face à cette situation accablante de disette, de misère des talibés souffreteux, errant,
mendiant, en quête des trois repas quotidiens, le pot à la main. Des talibés, on en rencontre partout dans les centres de Dakar. Souvent, on leur balance une petite pièce pour se donner une bonne conscience. Ce tableau dégradant où, les plus exposés des groupes vulnérables à savoir nos enfants en grand nombre sont le théâtre quotidien dans les rues de la capitale et massivement
dans la banlieue. C’est à ce mal social qu’il faut s’attaquer. Dakar particulièrement et dans chacun de ses quartiers sont une illustration de ce malaise à dimension humaine. Les talibés envahissent les rues à la pointe de l’aube et aux heures tardives à la recherche de repas hypothétiques. Les talibés eux, se contentent des restes d’aliments de toutes sortes souvent d’ailleurs indigestes, niche de maladies diarrhéiques. Cette dure réalité a été relevée au plus haut sommet de l’ETAT parce que constatée par Maître Abdoulaye Wade, Président de la République qui, lors du conseil interministériel sur le sujet si préoccupant des enfants de la rue déclara sans ambages les propos mentionnés en introduction. Le constat est toujours d’actualité.
Le Partenariat pour le Retrait et la Réinsertion des Enfants de la Rue est un partenariat à visage humain, une initiative concertée d’où la nécessité historique à l’entrain pour une intériorisation voire appropriation sans heurt social de son contenu, mieux, de sa traduction sur les terrains communautaires. « Quel que soit le nombre d’enfants dans la rue, un seul c’est déjà trop. » a déjà
répété une voix à l’époque impliquée et à l’époque Représentant Résident de la Banque Mondiale. La journée du talibé doit être rehaussée par des réunions d’échange, de partage, de discussion, de restitution, d’appropriation des échos relatifs aux multiples engagements tenus. Il y a aussi urgence d’y associer les communautés de base vivant dans l’environnement immédiat des talibés
mendiant de la nourriture, le pot à la main. C ‘est une image dégradante de la société sénégalaise au même titre que celle des jeunes affrontant les flots de l’atlantique pour une émigration clandestine. Quel désespoir humain pour les tout jeunes en piteux état.
A la veille du 20 avril 2011, marquant encore une édition de la journée du talibé, toutes les parties prenantes à la cause des talibés fort démunis, en errance, en quête de pitance alimentaire dans les rues de Dakar et banlieues devraient juger opportun de réunir leurs différents membres pris individuellement ou collectivement via leur association représentante pour une concertation
fructueuse. En effet, il y a lieu de retenir, hors des voies classiques, la meilleure forme d’implication, de cerner la position la plus adaptée à adopter, retenir les décisions les plus appropriées à prendre, les contacts solides à nouer, les activités déterminantes à envisager voire entreprendre en ce jour. A priori, il n’est pas question de se mêler à des manifestations de routine sans discernement, vite récupérées à d’autres fins politiques sans lendemain porteur.
Les organisations internationales, à l’instar des partenaires au développement dans leur lancée de promotion de la bonne gouvernance, de l’équité, de la distribution équitable des fruits de la croissance à toutes les étapes de projets visant la lutte contre la pauvreté, la protection des couches meurtries, le bien être social, doivent de concert avec le gouvernement et les autres parties prenantes dans l’ensemble juger nécessaire de rompre avec les voies classiques de communication, notamment s’agissant de restituer toute la teneur ou la portée sociale d’un projet orienté vers l’éradication de la pauvreté de cette cible, la prise en charge de ces démunis, la protection des enfants talibés. En ligne de mire, les talibés de la corvée alimentaire. Il ressort des études, analyses et évaluations que les voies classiques de restitution des tenants et aboutissants de bien des projets de cette nature spécifique ont démontré pour la plupart leur limite sur les daaras. Les conséquences de ces maladresses expliquent en partie la non atteinte des objectifs visés, encore moins l’appropriation des directives notamment celles tournées vers la satisfaction des besoins des talibés par une prise en charge et résolution ferme de leurs problèmes à multiples facettes. Pourtant, ces maux sont exprimés par ces couches les plus vulnérables et leurs maitres coraniques. Il s’en est suivi une demande sociale non satisfaite de ces couches exténuées, pire un catalogue d’externalités négatives, un mécontentement social, un raz le bol, une remise en cause de la politique sociale teintée d’évènements à spectacle ennuyant. Il n’est plus question de reconduire ces impairs, non plus faire rejaillir les erreurs du passé; au contraire, exclure les errements et manquements, ne point répéter les tâtonnements dans la conduite de prise en charge des talibés. La répercussion de tels écarts est durement ressentie par cette forte frange en errance partout.
la mendicité alimentaire des talibés, une plaie encore béante dans notre société.
A date, il y a lieu de traduire pour la cible, les propos exprimés par des voix autorisées et crédibles, ces parties prenantes pour une solution appropriée des enfants mendiant la nourriture. En ceinturant les réflexions, les suggestions, l’engagement dans les recommandations, l’objectif reste la traduction, l’implication pratique du peuple par une participation élargie et populaire. Guérir le mal de la mendicité des talibés est d’actualité. Le défi est annoncé et porté sur toutes les lèvres : « Arrêtons de faire semblant, il y a vraiment urgence à faire vite ». Cette prise de conscience effective du mal peut fort bien marquer une ferme traduction de la volonté de vulgariser les propos de personnalités et s’évertuant sur le partenariat pour le retrait et la réinsertion des enfants de la rue. Dans un futur rapproché, entrevoir les voies de collaboration fructueuses avec les partenaires au développement qui ont pris le pari de matérialiser la fin de la mendicité des talibés en les retirant de la rue et en les insérant dans leur Daara. Il n’est plus question d’être un spectateur passif face à cette situation de misère. Des talibés errant, mendiant, en quête des trois repas quotidiens. C’est désolant. La cible, directement impliquée au premier rang souhaiterait mesurer les engagements des autorités et partenaires au développement et évaluer le poids des autres bonnes volontés autour du partenariat.
C’est toute la portée de la directive à retenir comme option irréversible en ce jour du 20 avril 2O11, dédié aux talibés. Les talibés doivent rester dans leurs daaras respectifs et que des repas leur soient apportés quotidiennement : Une prise en charge des trois repas quotidiens des talibés est une solution au mal. C’est une formule pratique de retirer les talibés de la rue et de les insérer dans les daaras hors des discours pompeux. C’est aussi une recommandation clef qui doit sortir des rencontres à tenir en ce jour énoncé. Des repas communautaires dont les talibés seront les convives doivent figurer comme activité en ce jour. Un test de volonté et de solidarité à perpétuer à travers un projet déclinant ses facettes de retrait, de réinsertion des talibés. Nous convenons certes que, prendre en charge les trois repas quotidiens des talibés est la voie pratique de retenir le jeune élève (talibé) afin qu’il puisse fréquenter assidûment l ‘école coranique (la Daara) et apprendre auprès du marabout (maître) coranique. Mieux encore, prendre en charge les trois repas quotidiens des talibés est une manifestation pratique de retirer les enfants de la rue par ricochet les éviter la rue pour leur Daara, leur lieu naturel d’épanouissement.
Passons aux actes au bénéfice de l’enfance déshéritée en les soustrayant de la corvée des trois repas, dans cette dynamique de piété, les insérer dans leur Daara, leur lieu d’éducation naturelle. Nous en sommes capables, la générosité, l’engagement, la bienfaisance aidant, socle de motivation.
Merci de vous sentir concernés.
« Celui qui prend part aux bonnes oeuvres tout en étant croyant. Celui la ne verra jamais renier de ses efforts et Dieu lui les inscrira à son actif. » Le saint coran Les Prophètes S21 V94.
la rue déclara sans ambages : «Tous m'ont conforté dans ma conviction que le triste sort fait aux talibés, haillons, pieds nus, errant sans cesse à la quête d'une
pitance aléatoire et exposés aux pires formes d'exploitation et de délinquance, est une pratique qui n'est conforme ni à nos valeurs traditionnelles, ni aux enseignements authentiques de la religion. Elle est légalement condamnable et moralement ».
Les éditions de la journée du talibé se suivent et se ressemblent avec les mêmes scénarios de dénonciation des situations de misère que vivent les talibés, le pot à la main, quémandant dans les rues de quoi atténuer la faim qui les ronge. Ce tableau dégradant connu des touristes est un signe manifeste de dénuement qui les accable et à tout temps. Cette disette alimentaire les torture atrocement. Toutes ces images défilent sous nos yeux dans notre environnement immédiat. Le mal ambiant persiste et continue de faire des ravages dans cette frange la plus faible de notre société sénégalaise de téranga, jadis d’entraide mutuelle.
Les talibés consacrent plus de temps dans la rue que dans l’enceinte de leur daaras, loin de leur maître coranique. Dés lors, ils constituent un pan des enfants de la rue, cible de toute déviation parce que la rue en partie appartient aux adultes véreux.
Au fait, originellement, un talibé est un jeune élève qui fréquente une école coranique et apprend auprès du marabout, nous rappelle la conscience collective. Les talibés continuent de mener la quête alimentaire. C’est à la vue de tout le monde Il n’est plus normal d’être un spectateur passif face à cette situation accablante de disette, de misère des talibés souffreteux, errant,
mendiant, en quête des trois repas quotidiens, le pot à la main. Des talibés, on en rencontre partout dans les centres de Dakar. Souvent, on leur balance une petite pièce pour se donner une bonne conscience. Ce tableau dégradant où, les plus exposés des groupes vulnérables à savoir nos enfants en grand nombre sont le théâtre quotidien dans les rues de la capitale et massivement
dans la banlieue. C’est à ce mal social qu’il faut s’attaquer. Dakar particulièrement et dans chacun de ses quartiers sont une illustration de ce malaise à dimension humaine. Les talibés envahissent les rues à la pointe de l’aube et aux heures tardives à la recherche de repas hypothétiques. Les talibés eux, se contentent des restes d’aliments de toutes sortes souvent d’ailleurs indigestes, niche de maladies diarrhéiques. Cette dure réalité a été relevée au plus haut sommet de l’ETAT parce que constatée par Maître Abdoulaye Wade, Président de la République qui, lors du conseil interministériel sur le sujet si préoccupant des enfants de la rue déclara sans ambages les propos mentionnés en introduction. Le constat est toujours d’actualité.
Le Partenariat pour le Retrait et la Réinsertion des Enfants de la Rue est un partenariat à visage humain, une initiative concertée d’où la nécessité historique à l’entrain pour une intériorisation voire appropriation sans heurt social de son contenu, mieux, de sa traduction sur les terrains communautaires. « Quel que soit le nombre d’enfants dans la rue, un seul c’est déjà trop. » a déjà
répété une voix à l’époque impliquée et à l’époque Représentant Résident de la Banque Mondiale. La journée du talibé doit être rehaussée par des réunions d’échange, de partage, de discussion, de restitution, d’appropriation des échos relatifs aux multiples engagements tenus. Il y a aussi urgence d’y associer les communautés de base vivant dans l’environnement immédiat des talibés
mendiant de la nourriture, le pot à la main. C ‘est une image dégradante de la société sénégalaise au même titre que celle des jeunes affrontant les flots de l’atlantique pour une émigration clandestine. Quel désespoir humain pour les tout jeunes en piteux état.
A la veille du 20 avril 2011, marquant encore une édition de la journée du talibé, toutes les parties prenantes à la cause des talibés fort démunis, en errance, en quête de pitance alimentaire dans les rues de Dakar et banlieues devraient juger opportun de réunir leurs différents membres pris individuellement ou collectivement via leur association représentante pour une concertation
fructueuse. En effet, il y a lieu de retenir, hors des voies classiques, la meilleure forme d’implication, de cerner la position la plus adaptée à adopter, retenir les décisions les plus appropriées à prendre, les contacts solides à nouer, les activités déterminantes à envisager voire entreprendre en ce jour. A priori, il n’est pas question de se mêler à des manifestations de routine sans discernement, vite récupérées à d’autres fins politiques sans lendemain porteur.
Les organisations internationales, à l’instar des partenaires au développement dans leur lancée de promotion de la bonne gouvernance, de l’équité, de la distribution équitable des fruits de la croissance à toutes les étapes de projets visant la lutte contre la pauvreté, la protection des couches meurtries, le bien être social, doivent de concert avec le gouvernement et les autres parties prenantes dans l’ensemble juger nécessaire de rompre avec les voies classiques de communication, notamment s’agissant de restituer toute la teneur ou la portée sociale d’un projet orienté vers l’éradication de la pauvreté de cette cible, la prise en charge de ces démunis, la protection des enfants talibés. En ligne de mire, les talibés de la corvée alimentaire. Il ressort des études, analyses et évaluations que les voies classiques de restitution des tenants et aboutissants de bien des projets de cette nature spécifique ont démontré pour la plupart leur limite sur les daaras. Les conséquences de ces maladresses expliquent en partie la non atteinte des objectifs visés, encore moins l’appropriation des directives notamment celles tournées vers la satisfaction des besoins des talibés par une prise en charge et résolution ferme de leurs problèmes à multiples facettes. Pourtant, ces maux sont exprimés par ces couches les plus vulnérables et leurs maitres coraniques. Il s’en est suivi une demande sociale non satisfaite de ces couches exténuées, pire un catalogue d’externalités négatives, un mécontentement social, un raz le bol, une remise en cause de la politique sociale teintée d’évènements à spectacle ennuyant. Il n’est plus question de reconduire ces impairs, non plus faire rejaillir les erreurs du passé; au contraire, exclure les errements et manquements, ne point répéter les tâtonnements dans la conduite de prise en charge des talibés. La répercussion de tels écarts est durement ressentie par cette forte frange en errance partout.
la mendicité alimentaire des talibés, une plaie encore béante dans notre société.
A date, il y a lieu de traduire pour la cible, les propos exprimés par des voix autorisées et crédibles, ces parties prenantes pour une solution appropriée des enfants mendiant la nourriture. En ceinturant les réflexions, les suggestions, l’engagement dans les recommandations, l’objectif reste la traduction, l’implication pratique du peuple par une participation élargie et populaire. Guérir le mal de la mendicité des talibés est d’actualité. Le défi est annoncé et porté sur toutes les lèvres : « Arrêtons de faire semblant, il y a vraiment urgence à faire vite ». Cette prise de conscience effective du mal peut fort bien marquer une ferme traduction de la volonté de vulgariser les propos de personnalités et s’évertuant sur le partenariat pour le retrait et la réinsertion des enfants de la rue. Dans un futur rapproché, entrevoir les voies de collaboration fructueuses avec les partenaires au développement qui ont pris le pari de matérialiser la fin de la mendicité des talibés en les retirant de la rue et en les insérant dans leur Daara. Il n’est plus question d’être un spectateur passif face à cette situation de misère. Des talibés errant, mendiant, en quête des trois repas quotidiens. C’est désolant. La cible, directement impliquée au premier rang souhaiterait mesurer les engagements des autorités et partenaires au développement et évaluer le poids des autres bonnes volontés autour du partenariat.
C’est toute la portée de la directive à retenir comme option irréversible en ce jour du 20 avril 2O11, dédié aux talibés. Les talibés doivent rester dans leurs daaras respectifs et que des repas leur soient apportés quotidiennement : Une prise en charge des trois repas quotidiens des talibés est une solution au mal. C’est une formule pratique de retirer les talibés de la rue et de les insérer dans les daaras hors des discours pompeux. C’est aussi une recommandation clef qui doit sortir des rencontres à tenir en ce jour énoncé. Des repas communautaires dont les talibés seront les convives doivent figurer comme activité en ce jour. Un test de volonté et de solidarité à perpétuer à travers un projet déclinant ses facettes de retrait, de réinsertion des talibés. Nous convenons certes que, prendre en charge les trois repas quotidiens des talibés est la voie pratique de retenir le jeune élève (talibé) afin qu’il puisse fréquenter assidûment l ‘école coranique (la Daara) et apprendre auprès du marabout (maître) coranique. Mieux encore, prendre en charge les trois repas quotidiens des talibés est une manifestation pratique de retirer les enfants de la rue par ricochet les éviter la rue pour leur Daara, leur lieu naturel d’épanouissement.
Passons aux actes au bénéfice de l’enfance déshéritée en les soustrayant de la corvée des trois repas, dans cette dynamique de piété, les insérer dans leur Daara, leur lieu d’éducation naturelle. Nous en sommes capables, la générosité, l’engagement, la bienfaisance aidant, socle de motivation.
Merci de vous sentir concernés.
« Celui qui prend part aux bonnes oeuvres tout en étant croyant. Celui la ne verra jamais renier de ses efforts et Dieu lui les inscrira à son actif. » Le saint coran Les Prophètes S21 V94.