En prenant cette décision, explique Diatou Cissé, le SYNPICS se soumet à l’obligation morale de rendre à César ce qui appartient à César. «En effet, si, aujourd’hui, la liberté de la presse est une réalité au Sénégal, nous le devons, entre autres, aux énormes sacrifices consentis par nos ainés dont certains sont encore parmi nous», reconnait la Secrétaire générale du Syndicat des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal.
Pour elle, ces confrères, dans un contexte difficile, ont su en toute grandeur, dépasser leurs intérêts personnels pour bâtir, après plusieurs péripéties certes, ce syndicat qui fait référence dans le monde des médiats en Afrique de l’Ouest.
Pour cette première édition, le SYNPICS a mis le focus sur un de ses plus illustres membres de sa corporation : il s’agit de feu Abdourahmane Cissé. A en croire tous les témoignages qui se sont succédés, il était un homme multidimensionnel. La Secrétaire générale a résumé, après recoupement de toutes les informations recueillies par ses connaissances, que le natif de Sébikotane était un gentleman au sens profond du terme.
Diatou Cissé estime que dans un contexte où la profession est traversée par des dérives de toute sorte, «nous avons pensé utile, pour nous réarmer moralement, d’aller chercher nos référence et nos symboles».
Selon elle, proposer ces symboles, qui ne sont, heureusement pas tous morts, comme viatique, à chaque fois que dans l’exercice les journalistes sont exposés à des tentatives de toutes sortes, constitue une stratégie de défense de l’éthique et de la déontologie du journaliste.
Venus nombreux, les parents, les amis, les connaissances, les collègues ont rendu des témoignages appuyés à leurs anciens camarades arrachés à leur affection. Les familles sont reparties avec des attestions de reconnaissance dédiées aux disparus.
Pour elle, ces confrères, dans un contexte difficile, ont su en toute grandeur, dépasser leurs intérêts personnels pour bâtir, après plusieurs péripéties certes, ce syndicat qui fait référence dans le monde des médiats en Afrique de l’Ouest.
Pour cette première édition, le SYNPICS a mis le focus sur un de ses plus illustres membres de sa corporation : il s’agit de feu Abdourahmane Cissé. A en croire tous les témoignages qui se sont succédés, il était un homme multidimensionnel. La Secrétaire générale a résumé, après recoupement de toutes les informations recueillies par ses connaissances, que le natif de Sébikotane était un gentleman au sens profond du terme.
Diatou Cissé estime que dans un contexte où la profession est traversée par des dérives de toute sorte, «nous avons pensé utile, pour nous réarmer moralement, d’aller chercher nos référence et nos symboles».
Selon elle, proposer ces symboles, qui ne sont, heureusement pas tous morts, comme viatique, à chaque fois que dans l’exercice les journalistes sont exposés à des tentatives de toutes sortes, constitue une stratégie de défense de l’éthique et de la déontologie du journaliste.
Venus nombreux, les parents, les amis, les connaissances, les collègues ont rendu des témoignages appuyés à leurs anciens camarades arrachés à leur affection. Les familles sont reparties avec des attestions de reconnaissance dédiées aux disparus.
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