À l’occasion de la commémoration de la Journée internationale de la paix du 21 Septembre 2024 dont le thème majeur retenu est « Faisons Germer une culture de Paix », le Groupe de Travail Femmes, Jeunes, Paix et Sécurité en Afrique de l’Ouest et au Sahel (GTFJPS-AOS) lance un « appel à l’ensemble des gouvernements dans la sous-région à œuvrer pour une paix durable, inclusive et profitable à toutes les composantes de la population Ouest Africaine », lit-on dans un communiqué.
D’après le GTFJPS-AOS, le contexte de la sous-région loin d’être reluisant avec son lot de massacres, d’attaques terroristes et de victimes dont la majeure partie est constituée de femmes et de jeunes, donne « l’occasion d’interpeller les dirigeants et toute les parties prenantes sur la nécessité de bâtir une culture de paix basée sur le commun vouloir de vivre ensemble afin de disposer de nations stables ».
Par ailleurs, l’organisation souligne que les « épisodes malheureux qui continuent d’affecter la marche vers le développement doivent céder le pas à une dynamique autour de toutes les forces vives de la nation à s’unir en vue de renforcer la paix et la stabilité pour le bien être de tout un chacun ».
C’est dans cette perspective que le Groupe de travail femmes, Jeunes, Paix et Sécurité en Afrique de l’ouest et au Sahel/Sénégal compte saisir les « autorités étatiques, les acteurs de la société civile, les populations locales et la presse nationale concernant les différentes agressions notées ces derniers temps sur le territoire national », peut-on lire dans le communiqué.
Le Groupe de Travail Femmes, Jeunes, Paix et Sécurité en Afrique de l’Ouest/ Sénégal commémore cette journée en se tournant vers les principaux enjeux et défis de la paix dans la sous-région et qui affectent les populations : insécurité, radicalisation, migration, criminalité organisée, guerre tribale, répressions et fermeture de l’espace civique entres autres, précise le document.
C’est sur cette base que le Groupe de Travail Femmes, Jeunes, Paix et Sécurité en Afrique de l’Ouest/ Sénégal appelle les « Etats à œuvrer pour le mieux-être des populations dans une paix durable et inclusive ».
D’après le GTFJPS-AOS, le contexte de la sous-région loin d’être reluisant avec son lot de massacres, d’attaques terroristes et de victimes dont la majeure partie est constituée de femmes et de jeunes, donne « l’occasion d’interpeller les dirigeants et toute les parties prenantes sur la nécessité de bâtir une culture de paix basée sur le commun vouloir de vivre ensemble afin de disposer de nations stables ».
Par ailleurs, l’organisation souligne que les « épisodes malheureux qui continuent d’affecter la marche vers le développement doivent céder le pas à une dynamique autour de toutes les forces vives de la nation à s’unir en vue de renforcer la paix et la stabilité pour le bien être de tout un chacun ».
C’est dans cette perspective que le Groupe de travail femmes, Jeunes, Paix et Sécurité en Afrique de l’ouest et au Sahel/Sénégal compte saisir les « autorités étatiques, les acteurs de la société civile, les populations locales et la presse nationale concernant les différentes agressions notées ces derniers temps sur le territoire national », peut-on lire dans le communiqué.
« La construction de la paix doit inclure tous les acteurs »Au Sénégal, les récents évènements avec leur lot de victimes renforcent l’idée soutenue de la vulnérabilité des jeunes et des femmes comme le rappelait l’Assemblée Générale et le Conseil de Sécurité de l’ONU à travers leurs différentes résolutions que la « construction de la paix doit inclure tous les acteurs et toutes les catégories pour instaurer un saut vers un avenir prometteur », rappelle le GTFJPS-AOS.
Le Groupe de Travail Femmes, Jeunes, Paix et Sécurité en Afrique de l’Ouest/ Sénégal commémore cette journée en se tournant vers les principaux enjeux et défis de la paix dans la sous-région et qui affectent les populations : insécurité, radicalisation, migration, criminalité organisée, guerre tribale, répressions et fermeture de l’espace civique entres autres, précise le document.
C’est sur cette base que le Groupe de Travail Femmes, Jeunes, Paix et Sécurité en Afrique de l’Ouest/ Sénégal appelle les « Etats à œuvrer pour le mieux-être des populations dans une paix durable et inclusive ».