Ce sont souvent les femmes et les enfants qui sont les plus éprouvés en cas de catastrophe. Pour renverser la tendance, affirme le directeur de la protection civile, Sidate Diouf, les femmes doivent être au début et à la fin de toutes les initiatives en matière de protection civile.
Le choix du thème de la journée internationale de la protection civile visait selon le secrétaire général de l’OIPC la femme afin de contribuer au renforcement de sa position et de son rôle réel et actif dans la société en correspondance avec leurs aptitudes, leurs cultures et leurs croyances et afin de mettre plus de lumière dans les grandes domaines de la protection civile et de la défense civile.
Face à la vulnérabilité aux catastrophes, a ajouté le directeur, une approche participative et intégrée des facteurs de risques demeure une condition nécessaire pour espérer atteindre un développement économique et social durable. Cette approche requiert l’implication de toutes les couches de la société sans exclusion aucune.
C’est la raison pour laquelle, l’organisation internationale de la protection civile (OIPC) a choisi comme thème de la journée de 2011 « le rôle de la femme au sein de la protection civile ». L’OIPC a compris la nécessité de porter la voix des femmes au niveau des Etats pour attirer leur attention sur le rôle qu’elles peuvent et doivent jouer au sein de la protection civile.
Pour le ministre de la femme Ndeye Khadi Diop, la communauté internationale avec ce thème entend susciter une nouvelle prise de conscience sur le lien qui existe entre homme et femme et entre homme, femme et protection civile. Son collègue du ministère de l’intérieur Ousmane Ngom a quant ‘à lui fait savoir que cette journée va permettre de réduire la féminisation des victimes de catastrophes et la grande inégalité qui existait entre homme, femme dans la formation en matière de protection civile.
Le choix du thème de la journée internationale de la protection civile visait selon le secrétaire général de l’OIPC la femme afin de contribuer au renforcement de sa position et de son rôle réel et actif dans la société en correspondance avec leurs aptitudes, leurs cultures et leurs croyances et afin de mettre plus de lumière dans les grandes domaines de la protection civile et de la défense civile.
Face à la vulnérabilité aux catastrophes, a ajouté le directeur, une approche participative et intégrée des facteurs de risques demeure une condition nécessaire pour espérer atteindre un développement économique et social durable. Cette approche requiert l’implication de toutes les couches de la société sans exclusion aucune.
C’est la raison pour laquelle, l’organisation internationale de la protection civile (OIPC) a choisi comme thème de la journée de 2011 « le rôle de la femme au sein de la protection civile ». L’OIPC a compris la nécessité de porter la voix des femmes au niveau des Etats pour attirer leur attention sur le rôle qu’elles peuvent et doivent jouer au sein de la protection civile.
Pour le ministre de la femme Ndeye Khadi Diop, la communauté internationale avec ce thème entend susciter une nouvelle prise de conscience sur le lien qui existe entre homme et femme et entre homme, femme et protection civile. Son collègue du ministère de l’intérieur Ousmane Ngom a quant ‘à lui fait savoir que cette journée va permettre de réduire la féminisation des victimes de catastrophes et la grande inégalité qui existait entre homme, femme dans la formation en matière de protection civile.