Pour le Directeur du groupe scolaire Silèye Guissé, sis aux Parcelles Assainies Unité 4, «il faudra revaloriser la fonction enseignante parce que l’Education occupe une place très importante. Mais on voit que cette fonction est en train d’être reléguée au second plan. Les autorités parlent toujours d’éducation mais on voit qu’il y a beaucoup de secteurs mieux considérés. Aux enseignants et enseignants, ce qu’il faut savoir, c’est que nous avons choisi un noble métier pour encadrer les enfants pour l’avenir du pays. De ce fait, il faut beaucoup plus de courage pour relever les défis malgré qu’il y ait beaucoup de difficultés et les dures conditions de travail».
« On n’a pas donné à cette journée la dimension qu’elle mérite. Il y a beaucoup de difficultés et dans la pratique, ce sont des problèmes. On ne sent pas la journée, c'est peut-être parce qu’elle coïncide avec la rentrée des classes. Même la presse n’en parle pas beaucoup. On n’attend pas parler d’organisations ni d’activités faites autour de cette journée, cela pose problème», martèle Demba El Hadji Camara.
Jugeant que «c'est une bonne chose qu’il y ait une journée internationale des enseignants et enseignantes», le Censeur du Lycée Fadia de se réjouir: «Dans le monde d’une façon générale, on ne peut rien faire sans l’Education».
Mieux souligne le Professeur de Philosophie: « J’ai l’habitude de dire et parois cela provoque l’hilarité de mon auditoire, même l’Education passe avant la santé parce que se maintenir en bonne santé, il faut être bien éduqué. Un individu mal éduqué ne peut pas être en bonne santé".
Selon lui, «c’est une journée qui tombe à pic avec la rentrée des classes». «Je crois que les gens vont prendre ce signe là et essayer d’aller de l’avant. C’est un bon signe... Nous sommes fiers d’être enseignants et profitons de l'occasion pour mettre en avant notre profession. Nous ne baissons pas la tête devant les autres corporations et nous n’attendons pas seulement cette journée pour le faire. Nous sommes fiers de montrer notre fonction d’enseignants… L’enseignement, c’est une vocation... ».
Organisée chaque année par l'UNESCO depuis 1994, cette journée des enseignants et enseignantes commémore la signature de la recommandation concernant la condition du personnel enseignant, signée le 5 octobre 1966 par cette organisation et l'OIT ainsi que, depuis plusieurs années, la signature de la recommandation concernant la condition du personnel enseignant de l'enseignement supérieur, signée le 11 novembre 19971.
« On n’a pas donné à cette journée la dimension qu’elle mérite. Il y a beaucoup de difficultés et dans la pratique, ce sont des problèmes. On ne sent pas la journée, c'est peut-être parce qu’elle coïncide avec la rentrée des classes. Même la presse n’en parle pas beaucoup. On n’attend pas parler d’organisations ni d’activités faites autour de cette journée, cela pose problème», martèle Demba El Hadji Camara.
Jugeant que «c'est une bonne chose qu’il y ait une journée internationale des enseignants et enseignantes», le Censeur du Lycée Fadia de se réjouir: «Dans le monde d’une façon générale, on ne peut rien faire sans l’Education».
Mieux souligne le Professeur de Philosophie: « J’ai l’habitude de dire et parois cela provoque l’hilarité de mon auditoire, même l’Education passe avant la santé parce que se maintenir en bonne santé, il faut être bien éduqué. Un individu mal éduqué ne peut pas être en bonne santé".
Selon lui, «c’est une journée qui tombe à pic avec la rentrée des classes». «Je crois que les gens vont prendre ce signe là et essayer d’aller de l’avant. C’est un bon signe... Nous sommes fiers d’être enseignants et profitons de l'occasion pour mettre en avant notre profession. Nous ne baissons pas la tête devant les autres corporations et nous n’attendons pas seulement cette journée pour le faire. Nous sommes fiers de montrer notre fonction d’enseignants… L’enseignement, c’est une vocation... ».
Organisée chaque année par l'UNESCO depuis 1994, cette journée des enseignants et enseignantes commémore la signature de la recommandation concernant la condition du personnel enseignant, signée le 5 octobre 1966 par cette organisation et l'OIT ainsi que, depuis plusieurs années, la signature de la recommandation concernant la condition du personnel enseignant de l'enseignement supérieur, signée le 11 novembre 19971.