Même si le nouveau code de la presse tarde toujours à être ratifié, les acteurs des médias peuvent néanmoins se réjouir de la disposition du chef de l’Etat et du chef du gouvernement. En effet, Macky Sall et Abdoul Mbaye sont favorables à la proposition des journalistes, révèle le ministre de la Communication, de l’Economie numérique et des Télécommunications qui déplore les violences faites aux journalistes. Toutefois, « certains malheureusement soutiennent que la dépénalisation favorise le dérapage des journalistes », relate Cheikh Bamba Dièye avant de s’interroger : « mais quel est le corps qui ne dérape pas ? »
M. Dièye de poursuivre par ailleurs que la presse « ne doit pas être au service d’un groupe particulier », mais doit viser « l’intérêt général ». Sans oublier les médias sociaux qui dit-il, sont devenus incontournables, le ministre de la Communication estime que « le paysage médiatique sénégalais est riche et diversifié, et les organes font leur travail librement ». Ce qui ne l’empêche toutefois pas à plaider pour l’assainissement du métier, la définition du statut du journaliste, mais aussi la réglementation du financement.
Des thèmes importants, relatifs à la sécurité du journaliste ont également fait l’objet d’exposés dans cette célébration de la deuxième décennie de la journée mondiale de la liberté de la presse. Le genre dans les médias, la précarité du métier, les relations entre presse et forces de l’ordre sont entre autres les sujets soumis à la réflexion.
M. Dièye de poursuivre par ailleurs que la presse « ne doit pas être au service d’un groupe particulier », mais doit viser « l’intérêt général ». Sans oublier les médias sociaux qui dit-il, sont devenus incontournables, le ministre de la Communication estime que « le paysage médiatique sénégalais est riche et diversifié, et les organes font leur travail librement ». Ce qui ne l’empêche toutefois pas à plaider pour l’assainissement du métier, la définition du statut du journaliste, mais aussi la réglementation du financement.
Des thèmes importants, relatifs à la sécurité du journaliste ont également fait l’objet d’exposés dans cette célébration de la deuxième décennie de la journée mondiale de la liberté de la presse. Le genre dans les médias, la précarité du métier, les relations entre presse et forces de l’ordre sont entre autres les sujets soumis à la réflexion.