Serigne Gueye Diop, ministre de l’industrie et du Commerce a pris part ce lundi 16 décembre 2024 à la cérémonie d’ouverture de la 5e édition des journées de la mise à niveau qui coïncide exactement avec les 20 d’existences de ladite structure.
Prenant la parole, le ministre a estimé qu’une phase de réflexion est nécessaire pour nous projeter dans les 25 années en conformité avec l’agenda 2050. Selon Serigne Gueye Diop, « la mise à niveau est un levier important dans le développement de notre économie puisqu’il contribue au renforcement des entreprises pour la continuité ». Il a également souligné que « le programme de mise à niveau initié en 2022 avec l’appui des partenaires, a permis au Sénégal d’être un pionnier en Afrique subsaharienne, mais le Sénégal a appris aussi de nos voisins la Tunisie ».
Chiffre à l’appui, le ministre est revenu en bref sur les missions et réalisation de la mise à niveau. « Les missions du bureau de la mise à niveau consistent à affronter les défis de la concurrence sur le marché national sur le marché international en tirant de l’opportunité offerte par les marchés régionaux tels que l’UEMOA, 8O millions d’habitants, la CEDEAO, 350 millions d’habitants, et la ZLECAF, 1,2 milliard de mis à niveau. Plus de 900 entreprises accompagnées sur l’ensemble du territoire en 20. Des investissements totaux de 140 milliards avec 68 milliards octroyés par le bureau de la mise à niveau en 20 ans. La création de 30 mils emploi direct et indirect ainsi qu’une amélioration significative des parts de marché du Sénégal notamment en Afrique de l’Ouest. Ces résultats ne sont pas simplement des chiffres, ils traduisent la modernisation des équipements, l’adoption du processus plus performants, plus durable respectueuses de l’environnement afin de renforcer les compétences humaines », a-t-il souligné.
Toutefois, M. Diop qui salue la réussite de la mise à niveau acquise en 20 d’existence invite le bureau administratif, en bref le patronat à se projeter sur l’étape suivant. « Il y’a cette phase de mise à niveau qui permet d’être une entreprise, il y a maintenant la phase moyen et je voulais vous inviter à réfléchir sur le future, 20 ans de succès, on la vue, maintenant nous devons réfléchir sur les 25 années à venir, qui entre dans notre agenda 2050 dont les 4 principaux axes au niveau industrielle consistent d’abord à l’industrialisation des ressources surnaturelles (le gaz et le pétrole), le deuxième moteur c’est l’industrie agroalimentaire, c’est tout ce qui touche aux produit halieutique, à l’anacarde, à sa transformation, à l’arachide à sa transformation, et autres », a indiqué le ministre.
Avant de poursuivre, "devrons-nous continuer à les exporter ou devons-nous commencer maintenant à les produire surplace et à créer des millions d’emplois ? L’autre, c’est l’industrie automobile, c’est très important, tout ce qui touche à l’industrie médicament de la pharmacie, tout ce qui touche à l’industrie qui a de l’exportation massive. Sans ces industries, manufacture le pays va continuer des ramener des camions d’importations, notre pays va continuer à importer les éléments les plus faciles à fabriquer. Je vous invite à réfléchir sur les 25 prochaines années ou est ce qu’on veut se trouver ou est ce qu'on veut devenir un pays industrialisé, à l’image de la Chine, ou est ce qu’on veut continuer à importer » ? S’est interrogé le ministre de l’industrie.
De son côté, le directeur du Bureau de Mise à Niveau, (BMN), Fatou Dyana Bâ, a salué « l'engagement indéfectible » du ministre de l'industrie et du commerce, Serigne Gueye Diop et le Secrétaire d'Etat des PME et PMI, Ibrahima Thiam. Elle a souligné que « l'objectif de cette édition, c'est de promouvoir et de mieux faire connaître l'instrument de mise à niveau, le BMN, comme levier de compétitivité des entreprises, souveraineté économique, à l'orée de ces 20 et d'existence ».
Sur la même lancée, le Président du comité de pilotage du BMN, Antoine Ngom, s’est prononcé sur l'engagement du Sénégal dans un ambitieux projet de transformation systémique à l'horizon 2050 pour une croissance économique forte. Il aussi indiqué la nécessité de relever les défis de l'exploitation des ressources énergétiques parce que le pays mise sur la compétitivité de ses entreprises. D'où le rôle crucial du Bureau de mise à Niveau dans l'accompagnement des entreprises sénégalaises, en les aidant à améliorer leurs performances et à conquérir de nouveaux marchés. »
Prenant la parole, le ministre a estimé qu’une phase de réflexion est nécessaire pour nous projeter dans les 25 années en conformité avec l’agenda 2050. Selon Serigne Gueye Diop, « la mise à niveau est un levier important dans le développement de notre économie puisqu’il contribue au renforcement des entreprises pour la continuité ». Il a également souligné que « le programme de mise à niveau initié en 2022 avec l’appui des partenaires, a permis au Sénégal d’être un pionnier en Afrique subsaharienne, mais le Sénégal a appris aussi de nos voisins la Tunisie ».
Chiffre à l’appui, le ministre est revenu en bref sur les missions et réalisation de la mise à niveau. « Les missions du bureau de la mise à niveau consistent à affronter les défis de la concurrence sur le marché national sur le marché international en tirant de l’opportunité offerte par les marchés régionaux tels que l’UEMOA, 8O millions d’habitants, la CEDEAO, 350 millions d’habitants, et la ZLECAF, 1,2 milliard de mis à niveau. Plus de 900 entreprises accompagnées sur l’ensemble du territoire en 20. Des investissements totaux de 140 milliards avec 68 milliards octroyés par le bureau de la mise à niveau en 20 ans. La création de 30 mils emploi direct et indirect ainsi qu’une amélioration significative des parts de marché du Sénégal notamment en Afrique de l’Ouest. Ces résultats ne sont pas simplement des chiffres, ils traduisent la modernisation des équipements, l’adoption du processus plus performants, plus durable respectueuses de l’environnement afin de renforcer les compétences humaines », a-t-il souligné.
Toutefois, M. Diop qui salue la réussite de la mise à niveau acquise en 20 d’existence invite le bureau administratif, en bref le patronat à se projeter sur l’étape suivant. « Il y’a cette phase de mise à niveau qui permet d’être une entreprise, il y a maintenant la phase moyen et je voulais vous inviter à réfléchir sur le future, 20 ans de succès, on la vue, maintenant nous devons réfléchir sur les 25 années à venir, qui entre dans notre agenda 2050 dont les 4 principaux axes au niveau industrielle consistent d’abord à l’industrialisation des ressources surnaturelles (le gaz et le pétrole), le deuxième moteur c’est l’industrie agroalimentaire, c’est tout ce qui touche aux produit halieutique, à l’anacarde, à sa transformation, à l’arachide à sa transformation, et autres », a indiqué le ministre.
Avant de poursuivre, "devrons-nous continuer à les exporter ou devons-nous commencer maintenant à les produire surplace et à créer des millions d’emplois ? L’autre, c’est l’industrie automobile, c’est très important, tout ce qui touche à l’industrie médicament de la pharmacie, tout ce qui touche à l’industrie qui a de l’exportation massive. Sans ces industries, manufacture le pays va continuer des ramener des camions d’importations, notre pays va continuer à importer les éléments les plus faciles à fabriquer. Je vous invite à réfléchir sur les 25 prochaines années ou est ce qu’on veut se trouver ou est ce qu'on veut devenir un pays industrialisé, à l’image de la Chine, ou est ce qu’on veut continuer à importer » ? S’est interrogé le ministre de l’industrie.
De son côté, le directeur du Bureau de Mise à Niveau, (BMN), Fatou Dyana Bâ, a salué « l'engagement indéfectible » du ministre de l'industrie et du commerce, Serigne Gueye Diop et le Secrétaire d'Etat des PME et PMI, Ibrahima Thiam. Elle a souligné que « l'objectif de cette édition, c'est de promouvoir et de mieux faire connaître l'instrument de mise à niveau, le BMN, comme levier de compétitivité des entreprises, souveraineté économique, à l'orée de ces 20 et d'existence ».
Sur la même lancée, le Président du comité de pilotage du BMN, Antoine Ngom, s’est prononcé sur l'engagement du Sénégal dans un ambitieux projet de transformation systémique à l'horizon 2050 pour une croissance économique forte. Il aussi indiqué la nécessité de relever les défis de l'exploitation des ressources énergétiques parce que le pays mise sur la compétitivité de ses entreprises. D'où le rôle crucial du Bureau de mise à Niveau dans l'accompagnement des entreprises sénégalaises, en les aidant à améliorer leurs performances et à conquérir de nouveaux marchés. »