Faire ses preuves avant la prise de fonction ministérielle incite toujours à garder une bonne image de la personne nommée. C’est en tout cas la considération à l’égard de la dauphine de Cheikh Tidiane Sy, suite à la description faite d’elle par le journaliste Abdou Latif Coulibaly. « Je connais la ministre de la justice. C’est une dame brillante, une militante », a-t-il représenté oralement avant d’expliquer « j’ai eu la chance de partager avec elle une récompense ou en tout cas une distinction mondiale avec une ougandaise et trois africains qui ont été choisis à l’époque, parmi les 100 personnalités de l’année, en décembre 1994, qui ont eu à influencer de façon décisive dans leur domaine respectif d’intervention de leur pays ».
Invité de l’émission « Grand jury » de la RFM de ce dimanche, « je dis, cette dame-là je la connais. S’il y a la volonté politique, elle la traduira en acte au ministère de la justice », réitère l’ancien journaliste devenu politicien qui s’explique « cela veut dire simplement que celui qui doit être jugé et poursuivi le sera ». Par ailleurs avec de tels témoignages, l’espoir d’une justice indépendante dont souffrent beaucoup de pays africains à l’instar du nôtre, peut encore être permis.
Invité de l’émission « Grand jury » de la RFM de ce dimanche, « je dis, cette dame-là je la connais. S’il y a la volonté politique, elle la traduira en acte au ministère de la justice », réitère l’ancien journaliste devenu politicien qui s’explique « cela veut dire simplement que celui qui doit être jugé et poursuivi le sera ». Par ailleurs avec de tels témoignages, l’espoir d’une justice indépendante dont souffrent beaucoup de pays africains à l’instar du nôtre, peut encore être permis.