Voilà un an que le journaliste Cheikh Adramé Diop présentait au public son premier film. Un long métrage de 52 minutes retraçant l’itinéraire du peintre plasticien Kalidou Kassé. La pellicule refait surface dans l’actualité avec une tournée initiée en son honneur afin de faire sa promotion. Lancée hier à la maison de la culture Douta Seck, la tournée se tient sur un mois. Les quatorze régions du Sénégal vont être investies. Tourné pendant quatre ans, le film a vécu un an avant d’emprunter un nouveau tournant. « La production est assez lourde et la promotion constitue une autre paire de manches, il fallait la préparer et se donner les moyens de la réussir », informe le réalisateur de « Kalidou Kassé, un ange de l’idéal ».
Cheikh Adramé Diop parle même « d’un vrai parcours du combattant ». Devant normalement être épaulé par le ministère de la Culture, le journaliste s’est finalement retrouvé seul dans ce projet. Il porte à lui seul un budget assez lourd. « Cette tournée devait être entièrement prise en charge par le ministère de la culture mais des problèmes de budget se sont posés en plus de la crise », indique Adramé.
Pour chaque étape seront organisées des séries de projections dans les centres culturels régionaux. Des débats suivront et porteront sur différents sujets avec des spécialistes de la question. Une occasion pour le réalisateur de faire en même temps la promotion du troisième festival mondial des arts nègres (Fesman).
Cheikh Adramé Diop parle même « d’un vrai parcours du combattant ». Devant normalement être épaulé par le ministère de la Culture, le journaliste s’est finalement retrouvé seul dans ce projet. Il porte à lui seul un budget assez lourd. « Cette tournée devait être entièrement prise en charge par le ministère de la culture mais des problèmes de budget se sont posés en plus de la crise », indique Adramé.
Pour chaque étape seront organisées des séries de projections dans les centres culturels régionaux. Des débats suivront et porteront sur différents sujets avec des spécialistes de la question. Une occasion pour le réalisateur de faire en même temps la promotion du troisième festival mondial des arts nègres (Fesman).