Des plateformes ainsi que des citoyens politiques ont unis leur force, et mettent sur pied une nouvelle structure dénommée ‘’sam sounu démocratie’’. En conférence de presse mercredi, ils ont demandé au président de la République, Macky Sall, "d’arrêter d’instrumentaliser la justice et de liquider des adversaires".
« Concernant Ousmane Sonko, la moitié des Sénégalais savent que ce dossier est un complot d’Etat. On ne veut pas que cette dictature que Macky nous impose passe. Nous voulons aussi que tous les chefs religieux de ce pays demandent à Macky d’arrêter. Parce qu’à chaque fois, on commence à prendre les activistes, de les mettre en prisons, de mettre les gens de la société civile en prison. Assane Diouf, Guy Marius Sagna, Clédor Sène, l’arrestation aussi des membres du Pastef », fustige Abdou Bâ leur porte-parole.
Poursuivant ses propos, M. Bâ soutient qu’il n’y a pas de liberté d’expression au Sénégal. « Au Sénégal, nous avons constaté une dictature rampante. Nous avons constaté qu’il n’y a pas de liberté d’expression. Nous avons aussi constaté qu’au Sénégal, si tu n’es pas du pouvoir, tu n’as pas le droit de parler. Au Président Macky Sall, nous voulons par rapport à ce dossier d'Ousmane Sonko, que la justice soit faite de façon équitable », dit-il selon Walf radio.
« Concernant Ousmane Sonko, la moitié des Sénégalais savent que ce dossier est un complot d’Etat. On ne veut pas que cette dictature que Macky nous impose passe. Nous voulons aussi que tous les chefs religieux de ce pays demandent à Macky d’arrêter. Parce qu’à chaque fois, on commence à prendre les activistes, de les mettre en prisons, de mettre les gens de la société civile en prison. Assane Diouf, Guy Marius Sagna, Clédor Sène, l’arrestation aussi des membres du Pastef », fustige Abdou Bâ leur porte-parole.
Poursuivant ses propos, M. Bâ soutient qu’il n’y a pas de liberté d’expression au Sénégal. « Au Sénégal, nous avons constaté une dictature rampante. Nous avons constaté qu’il n’y a pas de liberté d’expression. Nous avons aussi constaté qu’au Sénégal, si tu n’es pas du pouvoir, tu n’as pas le droit de parler. Au Président Macky Sall, nous voulons par rapport à ce dossier d'Ousmane Sonko, que la justice soit faite de façon équitable », dit-il selon Walf radio.