Le Conseiller en Communication de Karim Wade, Cheikh Diallo a qualifié le ministre d’Etat, ministre de la Coopération internationale, des Infrastructure, des transports aériens et de l’Energie, Karim Wade de Zidane (ex-n°10 de l’équipe nationale de football de France) de l’équipe gouvernementale du Sénégal.
«En vérité, Karim Wade, c’est le Zidane de l’équipe gouvernementale (du Sénégal) », a confié Cheikh Diallo qui était l’invité ce dimanche 21 novembre de l’émission «Opinion», de Walfadjiri.
«Même quand il marque des buts au stade Léopold Sédar Senghor, on n’applaudit pas parce qu’on s’est dit que l’entraîneur lui a donné trop de faveur», a développé le théoricien de la Génération du Concret, mouvement dirigé par Karim.
Toutefois, il assure ne pas minimiser le travail qu’abattent les autres ministres. «Si je parle de Zidane, c’est parce qu’on lui a donné des moyens (…) au niveau de la Coopération internationale où il a diversifié les relations», indique la diversité des partenaires. «Nous ne sommes plus dans la vieille France, avec tout le respect que je lui doit. Nous sommes aussi avec les Chinois, les Indiens, etc», a fait savoir «l’ami et frère de Karim» qui déplore les les clichés que font les gens sur Karim. «Il y a un stock d’idées reçues sur lui. C’est vrai, il y a le Karim ministre d’Etat, il y a le Karim, membre du Comité directeur du PDS, il y a le Karim sociable. Je n’en parlerai pas par pudeur du Karim sociable», a confié Cheikh Diallo qui révèle que son mentor «a misé transversal et qu’il travaille dur». «Je l’ai vu à l’œuvre», a-t-il juré en estimant qu’on lui prête trop de pouvoir.
Pour étayer ses propos, le Conseiller en Communication de Karim Wade raconte une anecdote. «Après le vote de la loi sur la parité et l’entrée en puissance des femmes dans le Gouvernement, Karim m’a appelé de l’étranger où il était pour me dire qu’il a entendu qu’on lui a délégué une ministre», narre le journaliste chercheur en Sciences politiques à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.
«Il n’en était pas informé. Les femmes qui ont été nommées et lui se sont connus, mutuellement, premier jour du premier Conseil des ministres après leur nomination», assure-t-il. «C’est pour vous dire qu’on prête trop de pouvoirs à Karim», regrette l’ancien patron du desk international du quotidien sénégalais «Le Matin» qui n’a pas manqué de se satisfaire du travail de son mentor dans le Gouvernement. «Sur le plan gouvernemental, il est, quand même, un ministre qui a ses résultats citant la réussite du voyage au pèlerinage à la Mecque, le nouvel aéroport de Ndiass, ect.
Pour lui, si le Président de la République a donné toutes ces fonctions à Karim, c’est qu’il pense qu’il va s’en sortir, autrement, il sera, automatiquement, sanctionné par les Sénégalais qui ne lui feront aucun cadeau (…).
«En vérité, Karim Wade, c’est le Zidane de l’équipe gouvernementale (du Sénégal) », a confié Cheikh Diallo qui était l’invité ce dimanche 21 novembre de l’émission «Opinion», de Walfadjiri.
«Même quand il marque des buts au stade Léopold Sédar Senghor, on n’applaudit pas parce qu’on s’est dit que l’entraîneur lui a donné trop de faveur», a développé le théoricien de la Génération du Concret, mouvement dirigé par Karim.
Toutefois, il assure ne pas minimiser le travail qu’abattent les autres ministres. «Si je parle de Zidane, c’est parce qu’on lui a donné des moyens (…) au niveau de la Coopération internationale où il a diversifié les relations», indique la diversité des partenaires. «Nous ne sommes plus dans la vieille France, avec tout le respect que je lui doit. Nous sommes aussi avec les Chinois, les Indiens, etc», a fait savoir «l’ami et frère de Karim» qui déplore les les clichés que font les gens sur Karim. «Il y a un stock d’idées reçues sur lui. C’est vrai, il y a le Karim ministre d’Etat, il y a le Karim, membre du Comité directeur du PDS, il y a le Karim sociable. Je n’en parlerai pas par pudeur du Karim sociable», a confié Cheikh Diallo qui révèle que son mentor «a misé transversal et qu’il travaille dur». «Je l’ai vu à l’œuvre», a-t-il juré en estimant qu’on lui prête trop de pouvoir.
Pour étayer ses propos, le Conseiller en Communication de Karim Wade raconte une anecdote. «Après le vote de la loi sur la parité et l’entrée en puissance des femmes dans le Gouvernement, Karim m’a appelé de l’étranger où il était pour me dire qu’il a entendu qu’on lui a délégué une ministre», narre le journaliste chercheur en Sciences politiques à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.
«Il n’en était pas informé. Les femmes qui ont été nommées et lui se sont connus, mutuellement, premier jour du premier Conseil des ministres après leur nomination», assure-t-il. «C’est pour vous dire qu’on prête trop de pouvoirs à Karim», regrette l’ancien patron du desk international du quotidien sénégalais «Le Matin» qui n’a pas manqué de se satisfaire du travail de son mentor dans le Gouvernement. «Sur le plan gouvernemental, il est, quand même, un ministre qui a ses résultats citant la réussite du voyage au pèlerinage à la Mecque, le nouvel aéroport de Ndiass, ect.
Pour lui, si le Président de la République a donné toutes ces fonctions à Karim, c’est qu’il pense qu’il va s’en sortir, autrement, il sera, automatiquement, sanctionné par les Sénégalais qui ne lui feront aucun cadeau (…).