Il a franchi la ligne, applaudi, avant de tomber dans les bras de son entraîneur, de s’agenouiller et de prier.
Eliud Kipchoge, 33 ans, a pulvérisé le record de plus d’une minute. Il devient le roi du 42 km et confirme son statut d’un des plus grands coureurs de tous les temps.
Son palmarès laisse rêveur.
Il a été champion du monde sur 5 000 m, en 2003 ; champion olympique du marathon, à Rio, il y a deux ans et vainqueur de 7 marathons majeurs ces quatre dernières années.
Les spécialistes savaient qu’Eliud Kipchoge avait le record du monde dans les jambes. L'an passé, en Italie, le Kenyan avait couru en 2h et 25 secondes, un temps hallucinant mais réalisé dans des conditions non homologuées, sur un parcours automobile, avec des coureurs lui servant de lièvres et des ravitaillements optimisés.
Le rendez-vous de Berlin était donc attendu, alors que la capitale allemande est le rendez-vous des courses les plus rapides, avec six records du monde battus, depuis onze ans.
Pourtant, l’épreuve du jour n’a pas été évidente pour Eliud Kipchoge. L’athlète est parti tellement vite qu’il s’est retrouvé seul, au 25e kilomètre, sans concurrent pour l’aider à maintenir le rythme. Mais le Kenyan a tenu jusqu’au bout.
« Je pensais à tous les efforts consentis ces derniers mois, pendant les ultimes kilomètres. Cela m'a aidé », a-t-il réagi après la course.
Eliud Kipchoge, 33 ans, a pulvérisé le record de plus d’une minute. Il devient le roi du 42 km et confirme son statut d’un des plus grands coureurs de tous les temps.
Son palmarès laisse rêveur.
Il a été champion du monde sur 5 000 m, en 2003 ; champion olympique du marathon, à Rio, il y a deux ans et vainqueur de 7 marathons majeurs ces quatre dernières années.
Les spécialistes savaient qu’Eliud Kipchoge avait le record du monde dans les jambes. L'an passé, en Italie, le Kenyan avait couru en 2h et 25 secondes, un temps hallucinant mais réalisé dans des conditions non homologuées, sur un parcours automobile, avec des coureurs lui servant de lièvres et des ravitaillements optimisés.
Le rendez-vous de Berlin était donc attendu, alors que la capitale allemande est le rendez-vous des courses les plus rapides, avec six records du monde battus, depuis onze ans.
Pourtant, l’épreuve du jour n’a pas été évidente pour Eliud Kipchoge. L’athlète est parti tellement vite qu’il s’est retrouvé seul, au 25e kilomètre, sans concurrent pour l’aider à maintenir le rythme. Mais le Kenyan a tenu jusqu’au bout.
« Je pensais à tous les efforts consentis ces derniers mois, pendant les ultimes kilomètres. Cela m'a aidé », a-t-il réagi après la course.
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