Dimanche dernier, le Kenya célébrait « Mashujaa Day », l’une de ses fêtes les plus importantes. Or la journée aurait pu être endeuillée par un ou plusieurs attentats. Le 1er octobre, les forces de sécurité ont effectué une descente dans un logement de Mombasa, la grande ville côtière. Trois suspects ont été tués et plusieurs autres arrêtés. La police a saisi un arsenal et plus d’une vingtaine de téléphones portables.
Selon les autorités, il s’agissait d’une cellule terroriste planifiant des attentats dimanche à Mombasa et d’autres sites côtiers. L’opération a fait suite à une alerte lancée il y a un mois. La police s’est mise à surveiller les déplacements et communications d’individus soupçonnés d’être liés aux terroristes somaliens shebabs.
Un suspect a été appréhendé. Son interrogatoire s’est révélé utile. Aussitôt, des agences de sécurité locales ont diffusé des messages de vigilance à leurs personnels. La police a renforcé ses contrôles autour des commissariats, écoles, églises, hôtels, plages et supermarchés.
Dans les communications interceptées, les terroristes présumés disaient avoir envoyé sept complices dans les comtés de Kwale et Kilifi pour y lancer des attaques. Les autorités ont alors étendu l’alerte à toute la région autour de Mombasa. Finalement, le coup de filet du 1er octobre a été réalisé. Au moins deux suspects ont plaidé non coupables. D’autres pourraient toujours être dans la nature. L’état d’alerte reste donc élevé dans la zone.
Selon les autorités, il s’agissait d’une cellule terroriste planifiant des attentats dimanche à Mombasa et d’autres sites côtiers. L’opération a fait suite à une alerte lancée il y a un mois. La police s’est mise à surveiller les déplacements et communications d’individus soupçonnés d’être liés aux terroristes somaliens shebabs.
Un suspect a été appréhendé. Son interrogatoire s’est révélé utile. Aussitôt, des agences de sécurité locales ont diffusé des messages de vigilance à leurs personnels. La police a renforcé ses contrôles autour des commissariats, écoles, églises, hôtels, plages et supermarchés.
Dans les communications interceptées, les terroristes présumés disaient avoir envoyé sept complices dans les comtés de Kwale et Kilifi pour y lancer des attaques. Les autorités ont alors étendu l’alerte à toute la région autour de Mombasa. Finalement, le coup de filet du 1er octobre a été réalisé. Au moins deux suspects ont plaidé non coupables. D’autres pourraient toujours être dans la nature. L’état d’alerte reste donc élevé dans la zone.
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