Volontiers provocateur, Miguna Miguna avait déclaré après la cérémonie : « Si l'on doit m'emmener au tribunal pour avoir fait mon devoir, alors venez m'arrêter mes chéris, venez ».
Les forces de l'ordre l'ont finalement interpellé chez lui, entraînant des manifestations notamment dans le bidonville de Kibera, à Nairobi. L'opposant a finalement été relâché sous caution. Il devra se présenter à la police lundi.
Le pouvoir continue à s'en prendre à l'opposition tout en attaquant les journalistes. Quatre médias nationaux sont toujours coupés malgré une décision de la haute cour ordonnant aux autorités de rétablir leur signaux.
Trois journalistes se disant menacés d'arrestation ont obtenu un ordre de la justice pour qu'on ne les interpelle pas. Ils devront toutefois se présenter à la direction criminelle lundi.
Les diplomaties étrangères, elles, mettent pouvoir et opposition dos à dos. Britanniques, Américains et Européens ont critiqué la prestation de serment de Raila Odinga, disant qu'elle n'était pas favorable au dialogue, que la Constitution devait être respectée, et rappelant que c'est bien Uhuru Kenyatta le président.
Les chancelleries ont également demandé aux autorités de laisser les médias émettre librement. Sans succès pour l'instant.
Les forces de l'ordre l'ont finalement interpellé chez lui, entraînant des manifestations notamment dans le bidonville de Kibera, à Nairobi. L'opposant a finalement été relâché sous caution. Il devra se présenter à la police lundi.
Le pouvoir continue à s'en prendre à l'opposition tout en attaquant les journalistes. Quatre médias nationaux sont toujours coupés malgré une décision de la haute cour ordonnant aux autorités de rétablir leur signaux.
Trois journalistes se disant menacés d'arrestation ont obtenu un ordre de la justice pour qu'on ne les interpelle pas. Ils devront toutefois se présenter à la direction criminelle lundi.
Les diplomaties étrangères, elles, mettent pouvoir et opposition dos à dos. Britanniques, Américains et Européens ont critiqué la prestation de serment de Raila Odinga, disant qu'elle n'était pas favorable au dialogue, que la Constitution devait être respectée, et rappelant que c'est bien Uhuru Kenyatta le président.
Les chancelleries ont également demandé aux autorités de laisser les médias émettre librement. Sans succès pour l'instant.