Après les politiciens qui ont fini d’exprimer leur colère face à cette situation qui prévaut au Sénégal en mettant en place des mouvements politiques, place maintenant aux artistes rappeurs d’emprunter le même chemin.
En effet le groupe de Rap « Keur gui» de Kaolack a lancé ce mardi 18 janvier 2011 le mouvement « Y en a marre». Un mouvement qui, selon les initiateurs, se veut avant tout populaire. «Marre de voir toutes ces frustrations accumulées et refoulées à longueur de journées sans rien faire. Marre d’être complice de cette passivité lassante sans lever le plus petit doigt. Marre d’avoir épuisé notre capacité d’indignation. Un désespoir! Des nuits passées dans le noir, des journées de travail perdues» a expliqué Thiat, un des membres du groupe, dans la presse du jour.
Pour l’autre membre du groupe, Kilifeu, le mouvement se veut également un élan patriotique, une convergence des forces de la jeunesse, une synergie de réflexions et d’actions précises et ciblées pour amener les autorités à faire des préoccupations du peuple leurs urgences et arrêter d’ériger en priorité des futilités.
"Le mouvement exige le retour à la normale de la fourniture de l’électricité et nous exigeons que les coupures intempestives soient conjuguées au passée".
En effet le groupe de Rap « Keur gui» de Kaolack a lancé ce mardi 18 janvier 2011 le mouvement « Y en a marre». Un mouvement qui, selon les initiateurs, se veut avant tout populaire. «Marre de voir toutes ces frustrations accumulées et refoulées à longueur de journées sans rien faire. Marre d’être complice de cette passivité lassante sans lever le plus petit doigt. Marre d’avoir épuisé notre capacité d’indignation. Un désespoir! Des nuits passées dans le noir, des journées de travail perdues» a expliqué Thiat, un des membres du groupe, dans la presse du jour.
Pour l’autre membre du groupe, Kilifeu, le mouvement se veut également un élan patriotique, une convergence des forces de la jeunesse, une synergie de réflexions et d’actions précises et ciblées pour amener les autorités à faire des préoccupations du peuple leurs urgences et arrêter d’ériger en priorité des futilités.
"Le mouvement exige le retour à la normale de la fourniture de l’électricité et nous exigeons que les coupures intempestives soient conjuguées au passée".