L’imam et le délégué de quartier des Parcelles assainies de Keur Massar (banlieue de Dakar) ont été arrêtés par la brigade de gendarmerie de la localité. Il leur est reproché d’avoir commandité la casse d’une église du royaume de Dieu qui se situe dans la localité.
Cet incident, selon la parution Le Quotidien, s’est produit après le sermon de l’mam Bâ vendredi dernier dans lequel il demandait aux fidèles et aux jeunes de se débarrasser de cette église.
48 heures après, narre notre confrère, des jeunes ont fait une descente dans les lieux avant de mettre à sac l’église et d’emporter tout le matériel du lieu de culte. La gendarmerie, qui y a fait une descente, a embarqué l’imam, le délégué de quartier et une dizaine de jeunes. Dans les colonnes du journal, le pasteur Joseph Diouf témoigne : «Tout s’est déroulé le dimanche vers 10h. Alors que nous étions en train de faire notre prière, au niveau de l’église, plus de 300 jeunes accompagnés des responsables du quartier et armés de gourdins, de marteau, de machette, de couteau et de coupe-coupe sont venus nous attaquer».
Joseph Diouf explique que ces derniers les accusent d’envoûter les populations pour aller prier dans leur église. «Pourtant, ceux qui viennent ici (dans l’église) savent que l’on aide des malades à retrouver la santé (…), rectifie-t-il.
Cet incident, selon la parution Le Quotidien, s’est produit après le sermon de l’mam Bâ vendredi dernier dans lequel il demandait aux fidèles et aux jeunes de se débarrasser de cette église.
48 heures après, narre notre confrère, des jeunes ont fait une descente dans les lieux avant de mettre à sac l’église et d’emporter tout le matériel du lieu de culte. La gendarmerie, qui y a fait une descente, a embarqué l’imam, le délégué de quartier et une dizaine de jeunes. Dans les colonnes du journal, le pasteur Joseph Diouf témoigne : «Tout s’est déroulé le dimanche vers 10h. Alors que nous étions en train de faire notre prière, au niveau de l’église, plus de 300 jeunes accompagnés des responsables du quartier et armés de gourdins, de marteau, de machette, de couteau et de coupe-coupe sont venus nous attaquer».
Joseph Diouf explique que ces derniers les accusent d’envoûter les populations pour aller prier dans leur église. «Pourtant, ceux qui viennent ici (dans l’église) savent que l’on aide des malades à retrouver la santé (…), rectifie-t-il.