Arrivé ce 16 janvier à l’Aéroport international Blaise Diagne (AIBD), le ressortissant autrichien a rencontré Ossas Nicholas, une jeune et belle nigériane qu’il avait connu sur afrointroductions.com, un site de rencontres dans lequel il avait posté son profil.
Lorsqu’il sort de l’aéroport, après les formalités, sa Ossas était là en plus des membres de sa famille, qui pour l’occasion, avaient loué une rutilante voiture. Toute se passe bien dans la tête de Rimeldo. Qui plus le lendemain, il se rend avec Ossas Nicholas à la mairie de Nimzatt, dans le bureau de l’officier d’état civil, pour préparer les formalités du mariage. Pour ces préparatifs, il allait dépenser presque tout le cash qu’il avait avec lui.
C’est en ce moment que Rimeldo va commencer à vivre l’enfer. Ossas révèle son vrai visage. Rimeldo est enfermé dans une pièce sombre, ses cartes bancaires vidées. En Autriche, les membres de sa famille s’inquiètent de ne plus recevoir de ses nouvelles. Son téléphone était éteint et il ne répondait pas aux mails.
Le 20 janvier, un de ses proches reçoit un mail troublant dans lequel il est informé que Rimeldo est pris en otage et qu’à défaut du paiement d’une rançon, il ne sera pas libéré. Dans un premier temps, les ravisseurs réclament 200.000 euros et fixent un ultimatum. La police autrichienne est saisie d’une alerte d’enlèvement avant que l’information ne soit transférée à l’Ambassade de ce pays au Sénégal.
L’ambassadeur saisit immédiatement les autorités policières qui font appel aux experts de la Division spéciale de lutte contre la cybercriminalité, un démembrement de la police judicaire. Les « experts » ont réussi à suivre la piste, les mis en cause sont arrêtés et placés en garde à vue.
L’Autrichien, sous le choc est libéré et conduit, avec ses deux ravisseurs, à la Cité police. Les autres membres de la famille ont aussi été arrêtés et mis à la disposition du Procureur, mercredi, rapporte « Libération ».
Lorsqu’il sort de l’aéroport, après les formalités, sa Ossas était là en plus des membres de sa famille, qui pour l’occasion, avaient loué une rutilante voiture. Toute se passe bien dans la tête de Rimeldo. Qui plus le lendemain, il se rend avec Ossas Nicholas à la mairie de Nimzatt, dans le bureau de l’officier d’état civil, pour préparer les formalités du mariage. Pour ces préparatifs, il allait dépenser presque tout le cash qu’il avait avec lui.
C’est en ce moment que Rimeldo va commencer à vivre l’enfer. Ossas révèle son vrai visage. Rimeldo est enfermé dans une pièce sombre, ses cartes bancaires vidées. En Autriche, les membres de sa famille s’inquiètent de ne plus recevoir de ses nouvelles. Son téléphone était éteint et il ne répondait pas aux mails.
Le 20 janvier, un de ses proches reçoit un mail troublant dans lequel il est informé que Rimeldo est pris en otage et qu’à défaut du paiement d’une rançon, il ne sera pas libéré. Dans un premier temps, les ravisseurs réclament 200.000 euros et fixent un ultimatum. La police autrichienne est saisie d’une alerte d’enlèvement avant que l’information ne soit transférée à l’Ambassade de ce pays au Sénégal.
L’ambassadeur saisit immédiatement les autorités policières qui font appel aux experts de la Division spéciale de lutte contre la cybercriminalité, un démembrement de la police judicaire. Les « experts » ont réussi à suivre la piste, les mis en cause sont arrêtés et placés en garde à vue.
L’Autrichien, sous le choc est libéré et conduit, avec ses deux ravisseurs, à la Cité police. Les autres membres de la famille ont aussi été arrêtés et mis à la disposition du Procureur, mercredi, rapporte « Libération ».
Autres articles
-
Le Projet GTE prévoit d'alimenter 11 millions de Sénégalais en eau potable d'ici 2050 (DG du Fonsis)
-
Cheikh Tidiane Dieye répond à Birahim Seck sur le projet GTE : « Ce sont des petites discussions d'épiciers… »
-
Grand Transfert d’Eau : Cheikh Tidiane Dièye présente le programme du gouvernement pour un accès équitable à l'eau potable
-
L'ex-commissaire Cheikhna Sadibou Keïta libre : sa première réaction après sa libération
-
Coupure de l'eau aux citoyens sénégalais : Guy Marius Sagna dénonce le mode de pratique de Sen'Eau