Reçus par le mouvement Front pour Révolution Anti-Impérialiste, Populaire et Panafricaine (FRAPP) ce jour, les travailleurs licenciés de l'hôtel King Fahd Palace ont encore une fois fait part de leur situation qu'ils vivent depuis 2019, lors de la pandémie du Covid19. Renvoyés par la direction de l'hôtel, ils ont dénoncé la manière dont Racine Sy a pris cette décision. C'est par "sms" que ces travailleurs ont reçu l'information de leur licenciement.
"Après 9 ans de gestion dans un climat social tendu à cause d'une gestion gabegie et opaque de licenciements abusifs et de sanctions à la moindre erreur, la direction King Fahd Palace a profité de la pandémie de Covid19 pour exécuter un plan de licenciement massif", a regretté Abdoul Diarra, porte-parole du jour.
Il a rappelé que le 25 mars 2021, dans le journal Rewmi, "le directeur d'exploitation, M. Pierre Mbow avait dit que l'hôtel King Fahd Palace avant la pandémie faisait un chiffre d'affaires d'un milliard par mois".
Suite à cette déclaration de M. Mbow, les 76 travailleurs qui ont perdu leur poste lors de la Covid19 se demandent "pourquoi licencier pour motif économiques si l'hôtel fait un chiffre d'affaire d'un milliard plus la subvention de l'Etat durant la Covid".
Malgré tous ces efforts, ont constaté ces ex-travailleurs de l'hôtel pour le dénoncer, "le Président directeur général, Racine Sy, a amené des pères et mères de famille en retraite forcée sans respect du règlement intérieur de l'hôtel et des lois régies par l'Etat".
Les 76 travailleurs de l'hôtel King Fahd Palace se posent des questions à savoir : "Pourquoi le King Fahd Palace a licencié au moment où tous les grands hôtels comme Radisson qui auraient fait moins en terme de chiffre d'affaires n'ont pas licencié"?
Face aux membres du Frapp, les travailleurs ont exprimé leurs attentes. Ils demandent des indemnités de licenciement adéquates, soulignant que leur départ n'était pas justifié. Certains d'entre eux exigent leur réintégration en raison de leur contribution essentielle à l'hôtel. Ils réclament également une amélioration des conditions de travail pour les employés restants et souhaitent engager un dialogue constructif avec la direction pour aborder leurs préoccupations.
Le mouvement FRAPP a apporté son soutien aux travailleurs, soulignant l'importance de la solidarité face à ces "injustices". Guy Marius Sagna et ses camarades insistent sur le fait que les droits des travailleurs doivent être respectés et que des actions concrètes doivent être prises.
"Après 9 ans de gestion dans un climat social tendu à cause d'une gestion gabegie et opaque de licenciements abusifs et de sanctions à la moindre erreur, la direction King Fahd Palace a profité de la pandémie de Covid19 pour exécuter un plan de licenciement massif", a regretté Abdoul Diarra, porte-parole du jour.
Il a rappelé que le 25 mars 2021, dans le journal Rewmi, "le directeur d'exploitation, M. Pierre Mbow avait dit que l'hôtel King Fahd Palace avant la pandémie faisait un chiffre d'affaires d'un milliard par mois".
Suite à cette déclaration de M. Mbow, les 76 travailleurs qui ont perdu leur poste lors de la Covid19 se demandent "pourquoi licencier pour motif économiques si l'hôtel fait un chiffre d'affaire d'un milliard plus la subvention de l'Etat durant la Covid".
Malgré tous ces efforts, ont constaté ces ex-travailleurs de l'hôtel pour le dénoncer, "le Président directeur général, Racine Sy, a amené des pères et mères de famille en retraite forcée sans respect du règlement intérieur de l'hôtel et des lois régies par l'Etat".
Les 76 travailleurs de l'hôtel King Fahd Palace se posent des questions à savoir : "Pourquoi le King Fahd Palace a licencié au moment où tous les grands hôtels comme Radisson qui auraient fait moins en terme de chiffre d'affaires n'ont pas licencié"?
Face aux membres du Frapp, les travailleurs ont exprimé leurs attentes. Ils demandent des indemnités de licenciement adéquates, soulignant que leur départ n'était pas justifié. Certains d'entre eux exigent leur réintégration en raison de leur contribution essentielle à l'hôtel. Ils réclament également une amélioration des conditions de travail pour les employés restants et souhaitent engager un dialogue constructif avec la direction pour aborder leurs préoccupations.
Le mouvement FRAPP a apporté son soutien aux travailleurs, soulignant l'importance de la solidarité face à ces "injustices". Guy Marius Sagna et ses camarades insistent sur le fait que les droits des travailleurs doivent être respectés et que des actions concrètes doivent être prises.