«Nous collège des délégués, représentants légitimes du personnel du King Fahd Palace, demandons aux nouvelles autorités de la République la rupture du contrat scandaleux de gestion qui lie la Société hôtelière Africaine à l’Etat du Sénégal, comme l’ont suggérées l’Armp, l’Ige et la Cour des comptes, avant que l’irréparable ne se produise », peut-on lire sur le document produit par des membres du personnel, parvenu à notre rédaction.
Selon eux, l’état désastreux dans laquelle se trouve leur entreprise est due à une mauvaise gestion de Mamadou Racine Sy, d’où leur appel envers les autorités : «nous suggérons le lancement d’un appel d’offres international pour trouver un nouveau repreneur capable de procéder aux investissements nécessaires pour la survie du complexe King Fahd… »
La Direction du King Fahd, par la voix de Pierre Mbow, directeur de l’exploitation s’inscrit en faux devant ces déclarations, jugeant que le contentieux découlerait plutôt «des demandes d’explication qui ont été servies à deux personnes (employés) et sur le redéploiement d’un agent au sein du même département, ce après avoir violé le règlement intérieur», explique-t-il.
Et de poursuivre : «En vertu du pouvoir d’organisation et de direction, tout employeur a le droit et même le devoir de réorganiser ses services dans le but de renforcer son rendement».
Selon lui, «Ce délégué est resté à son ancien poste, créant ainsi un sérieux blocage du service et nous obligeant à requérir les forces de l’ordre pour le faire quitter du pote et installer son remplaçant».
Selon eux, l’état désastreux dans laquelle se trouve leur entreprise est due à une mauvaise gestion de Mamadou Racine Sy, d’où leur appel envers les autorités : «nous suggérons le lancement d’un appel d’offres international pour trouver un nouveau repreneur capable de procéder aux investissements nécessaires pour la survie du complexe King Fahd… »
La Direction du King Fahd, par la voix de Pierre Mbow, directeur de l’exploitation s’inscrit en faux devant ces déclarations, jugeant que le contentieux découlerait plutôt «des demandes d’explication qui ont été servies à deux personnes (employés) et sur le redéploiement d’un agent au sein du même département, ce après avoir violé le règlement intérieur», explique-t-il.
Et de poursuivre : «En vertu du pouvoir d’organisation et de direction, tout employeur a le droit et même le devoir de réorganiser ses services dans le but de renforcer son rendement».
Selon lui, «Ce délégué est resté à son ancien poste, créant ainsi un sérieux blocage du service et nous obligeant à requérir les forces de l’ordre pour le faire quitter du pote et installer son remplaçant».
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