Le conférencier, Mr Barka Cissé a souligné que le thème ‘’l’intercommunalité dans l’acte III de la décentralisation’’ vient en son heure. Il explique : « le choix de ce thème vient à son heure. Parce qu’il retrace une réalité qui se trouve aujourd’hui au niveau des communes. Naturellement quand on parle de l’acte III, on n’est passé d’abord par l’acte I depuis 1972 avec les communautés Rurales, l’acte II en 1987 avec la régionalisation, et aujourd’hui c’est l’acte III qui ramène la population beaucoup plus proche de la gestion ».
Selon lui, « au lieu d’avoir des communautés rurales qui n’ont pas beaucoup de moyen, ils ont préféré mettre en place des communes en plein exercice. Il y a beaucoup de compétences qui ont été transféré pour permettre à la population d’avoir l’accès fiscal, ou le recours à la fiscalité sociale mais aussi diminuer tous les charges qui se trouvent au développement de la basse. Ce qui fait qu’aujourd’hui, l’acte III en terme beaucoup plus simple permet de ramène l’administration à la population. Mais des fois on voit qu’il y a des lenteurs, des blocages liés à la lourdeur de l’administration », a dénoncé Mr Cissé.
Alassane Kandé, président du CEEALSB est revenu largement sur l’historique de l’amical. Il a signifié que : « Ce collectif regroupé les deux communautés rurales de Lorma et Saré Bidji qui ont un attachement géographique très net. Aujourd’hui avec l’Acte III de la décentralisation, elles ont connu une division avec quatre nouvelles communes. L’ensemble des communautés rurales de Saré Bidji comptent deux communes. Celui de Thiétty et celle de Saré Bidji, la commune de Lorma elle, compte celle de Bourouko, Biniarabie, et celle de Koulountou. Mais néanmoins, le rattachement géographique reste. Ce qui est à l’origine du choix sur ce thème », dit-il. Avant d’ajouter que : « l’amicale est créées en 2004 dans un contexte où l’étudiant venant de ce territoire souffrait des difficultés incommensurable. C’est ainsi qu’il a vu le jour et il existe jusqu'à présent et s’améliore ».
Selon lui, « au lieu d’avoir des communautés rurales qui n’ont pas beaucoup de moyen, ils ont préféré mettre en place des communes en plein exercice. Il y a beaucoup de compétences qui ont été transféré pour permettre à la population d’avoir l’accès fiscal, ou le recours à la fiscalité sociale mais aussi diminuer tous les charges qui se trouvent au développement de la basse. Ce qui fait qu’aujourd’hui, l’acte III en terme beaucoup plus simple permet de ramène l’administration à la population. Mais des fois on voit qu’il y a des lenteurs, des blocages liés à la lourdeur de l’administration », a dénoncé Mr Cissé.
Alassane Kandé, président du CEEALSB est revenu largement sur l’historique de l’amical. Il a signifié que : « Ce collectif regroupé les deux communautés rurales de Lorma et Saré Bidji qui ont un attachement géographique très net. Aujourd’hui avec l’Acte III de la décentralisation, elles ont connu une division avec quatre nouvelles communes. L’ensemble des communautés rurales de Saré Bidji comptent deux communes. Celui de Thiétty et celle de Saré Bidji, la commune de Lorma elle, compte celle de Bourouko, Biniarabie, et celle de Koulountou. Mais néanmoins, le rattachement géographique reste. Ce qui est à l’origine du choix sur ce thème », dit-il. Avant d’ajouter que : « l’amicale est créées en 2004 dans un contexte où l’étudiant venant de ce territoire souffrait des difficultés incommensurable. C’est ainsi qu’il a vu le jour et il existe jusqu'à présent et s’améliore ».
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