Pour le comédien Kouthia, Assane Diouf a son style et il ne peut que le respecter. Sur les ondes de la Rfm, lez présentateur du "Kouthia Show" appelle le président de la république à se dé^partir de sa casquette de chef de parti, s'il ne veut pas courir le risque de voir l'institution être prise pour cible d'attaques virulentes et salaces telles celles du ressortissant sénégalais basé aux Etats-Unis et qui font le buzz sur la toile.
"Il est tant au Sénégal qu'on fasse la différence entre chef de parti et président de la République. Tant qu'il n'y aura pas une séparation de ces deux-là, il existera toujours des polémiques. Parce que quand vous êtes président de la République et en même temps chef de parti, celui qui s'adresse à vous le fait en tant que chef de parti", confie-t-il à Mamadou Mouhamed Ndiaye, avec qui il était en direct à l'antenne.
Et Kouthia de renseigner : "Les droits de l'Homme protègent celui qui s'adresse au chef de parti. Le citoyen peut s'adresser au chef de parti de la manière dont il veut, dans le cadre politique. Maintenant, s'il y a séparation et que vous confiez la présidence de votre parti à un autre, pour consacrer pleinement à la fonction de président de la République, celui qui vous attaque de manière irrespectueuse va se heurter à l'article 80 (Ndlr : article de la Constitution qui punit le délit d'offense au chef de l'Etat). Il n'y a aucun article (dans la Constitution) qui punit l'offense au chef de parti".
Toutefois, Kouthia s'est démarqué de la manière dont Assane Diouf attaque le président Macky Sall. Selon lui "insulter ne fait pas partie de notre culture".
"Il est tant au Sénégal qu'on fasse la différence entre chef de parti et président de la République. Tant qu'il n'y aura pas une séparation de ces deux-là, il existera toujours des polémiques. Parce que quand vous êtes président de la République et en même temps chef de parti, celui qui s'adresse à vous le fait en tant que chef de parti", confie-t-il à Mamadou Mouhamed Ndiaye, avec qui il était en direct à l'antenne.
Et Kouthia de renseigner : "Les droits de l'Homme protègent celui qui s'adresse au chef de parti. Le citoyen peut s'adresser au chef de parti de la manière dont il veut, dans le cadre politique. Maintenant, s'il y a séparation et que vous confiez la présidence de votre parti à un autre, pour consacrer pleinement à la fonction de président de la République, celui qui vous attaque de manière irrespectueuse va se heurter à l'article 80 (Ndlr : article de la Constitution qui punit le délit d'offense au chef de l'Etat). Il n'y a aucun article (dans la Constitution) qui punit l'offense au chef de parti".
Toutefois, Kouthia s'est démarqué de la manière dont Assane Diouf attaque le président Macky Sall. Selon lui "insulter ne fait pas partie de notre culture".