Les Progressistes se sont maintenant fixés une idée sur la gouvernance du pouvoir libéral qui selon eux, a montré ses limites. «La liste des forfaitures est trop longue depuis dix ans, pour qu’on puisse accorder au régime en place l’excuse de l’incompétence ou du bénéfice du doute», lit-on dans le communiqué qui a sanctionné la réunion du bureau hebdomadaire de l’AFP.
A en croire les Progressistes, il apparaît, aujourd’hui, clairement que le nœud gordien a pour noms affairisme et corruption. Ce qui entraîne le raidissement des pseudo-libéraux qui parasitent, pour des raisons de survie, la vie démocratique du Sénégal et, naturellement, le mode de dévolution du pouvoir plombé par le besoin vital de couvrir des arrières, en confisquant la volonté populaire, par des fraudes électorales massives.
Le Bureau politique de l’AFP s’est dit indigné par «la fuite en avant inquiétante» du régime en place qui, après «l’avalanche de scandales financiers», est incapable de se ressaisir pour gérer, avec méthode et organisation, les dossiers prioritaires du Sénégal. «L’affaire des 20 milliards de SUDATEL tombés, dans l’escarcelle du clan infernal n’ayant pas encore été élucidée par ceux-là mêmes qui ont négocié dans la pénombre, voilà qu’une somme relevant du registre fantastique, 5.000 milliards, est avancée dans le cadre d’une nébuleuse», ont estimé Moustapha Niass et ses camarades qui ajoutent que dans un tel contexte, il n’est pas étonnant que le gouvernement de Me Wade consacre l’essentiel de son temps à l’affairisme d’Etat et à la politique politicienne, en refusant de traiter sérieusement les vrais problèmes économiques du Sénégal et la demande sociale qui assaille les populations.
Cette demande a pour nom, selon les locataires de la Sicap Sacré coeur, le monde rural qui crie de plus en plus son désespoir, face à une paupérisation galopante due à des choix politiques ruineux et incongrus.
Les Progressistes expliquent qu’après avoir nié pendant longtemps l’inexistence d’une campagne de commercialisation agricole sérieuse, le régime en place vient de reconnaitre ses innombrables manquements, par le biais d’un obscur responsable d’une Direction nationale. Ainsi donc, à peine 260.000 tonnes d’arachides ont été commercialisées et quelques 13 milliards de F CFA de bons impayés ont été comptabilisés.
A en croire les Progressistes, il apparaît, aujourd’hui, clairement que le nœud gordien a pour noms affairisme et corruption. Ce qui entraîne le raidissement des pseudo-libéraux qui parasitent, pour des raisons de survie, la vie démocratique du Sénégal et, naturellement, le mode de dévolution du pouvoir plombé par le besoin vital de couvrir des arrières, en confisquant la volonté populaire, par des fraudes électorales massives.
Le Bureau politique de l’AFP s’est dit indigné par «la fuite en avant inquiétante» du régime en place qui, après «l’avalanche de scandales financiers», est incapable de se ressaisir pour gérer, avec méthode et organisation, les dossiers prioritaires du Sénégal. «L’affaire des 20 milliards de SUDATEL tombés, dans l’escarcelle du clan infernal n’ayant pas encore été élucidée par ceux-là mêmes qui ont négocié dans la pénombre, voilà qu’une somme relevant du registre fantastique, 5.000 milliards, est avancée dans le cadre d’une nébuleuse», ont estimé Moustapha Niass et ses camarades qui ajoutent que dans un tel contexte, il n’est pas étonnant que le gouvernement de Me Wade consacre l’essentiel de son temps à l’affairisme d’Etat et à la politique politicienne, en refusant de traiter sérieusement les vrais problèmes économiques du Sénégal et la demande sociale qui assaille les populations.
Cette demande a pour nom, selon les locataires de la Sicap Sacré coeur, le monde rural qui crie de plus en plus son désespoir, face à une paupérisation galopante due à des choix politiques ruineux et incongrus.
Les Progressistes expliquent qu’après avoir nié pendant longtemps l’inexistence d’une campagne de commercialisation agricole sérieuse, le régime en place vient de reconnaitre ses innombrables manquements, par le biais d’un obscur responsable d’une Direction nationale. Ainsi donc, à peine 260.000 tonnes d’arachides ont été commercialisées et quelques 13 milliards de F CFA de bons impayés ont été comptabilisés.
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