L'Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF), réunie à Dakar pour sa 36e session du 6 au 8 juillet 2010, sur proposition du réseau des femmes parlementaires, a demandé, instamment, aux Etats membres de la Francophonie l’adhésion, la ratification et l’application effective de la Convention des Nations- Unies sur l’élimination de toutes les formes de discriminations à l’égard des femmes (la CEDEF) et son protocole facultatif, ainsi que tous les instruments juridiques y relatifs.
Cette institution reste convaincue que la lutte contre toutes les formes de traitements inhumains que subissent les femmes réfugiées passe par la promotion de l’égalité entre les femmes et les hommes à travers l’éducation et la formation.
Ce qui n’est pas le cas puisque l’Assemblée du Parlement francophone a constaté que malgré l’existence de la multitude d’instruments juridiques de protection internationale de la personne réfugiée et de la femmes réfugiée en particulier, les femmes réfugiées continuent de subir des traitements dégradants et inhumains.
D’ailleurs, l’APF constate que la situation des femmes réfugiées et des femmes déplacées pour cause de guerre ou de conflits armés constitue une préoccupation majeure pour la Communauté internationale de la Francophonie.
Cette institution reste convaincue que la lutte contre toutes les formes de traitements inhumains que subissent les femmes réfugiées passe par la promotion de l’égalité entre les femmes et les hommes à travers l’éducation et la formation.
Ce qui n’est pas le cas puisque l’Assemblée du Parlement francophone a constaté que malgré l’existence de la multitude d’instruments juridiques de protection internationale de la personne réfugiée et de la femmes réfugiée en particulier, les femmes réfugiées continuent de subir des traitements dégradants et inhumains.
D’ailleurs, l’APF constate que la situation des femmes réfugiées et des femmes déplacées pour cause de guerre ou de conflits armés constitue une préoccupation majeure pour la Communauté internationale de la Francophonie.