Dans sa requête à la Cour internationale de justice (CIJ), l’Afrique du Sud affirme qu’Israël « s'est livré, se livre et risque de continuer à se livrer à des actes de génocide contre le peuple palestinien à Gaza ». Elle dénonce des « massacres » et une intention de « détruire » ce peuple, rapporte notre correspondante à Johannesburg, Joséphine Kloeckner.
Des mots forts que la nation arc-en-ciel n’emploie pas pour la première fois : il y a un mois, le gouvernement avait déjà accusé Israël de crimes de guerre et de génocide à Gaza, rappelé tous ses diplomates de Tel-Aviv, et demandé avec quatre autres pays le lancement d’une enquête par la Cour pénale internationale (CPI). Israël avait rétorqué en annonçant à son tour le rappel de son ambassadeur en Afrique du Sud.
Le soutien de l’Afrique du Sud à la cause palestinienne ne date pas de cette guerre qui fait rage depuis bientôt trois mois : il est dans l’ADN de la politique internationale de l’ANC, le parti de la libération au pouvoir depuis 30 ans, qui la compare souvent à son propre combat contre l’apartheid.
Dans un communiqué, le gouvernement explique continuer à appeler à « un cessez-le-feu immédiat et permanent, et à la reprise des pourparlers, pour mettre fin », selon ses mots, « à la violence résultant de l’occupation belligérante de la Palestine ».
Des mots forts que la nation arc-en-ciel n’emploie pas pour la première fois : il y a un mois, le gouvernement avait déjà accusé Israël de crimes de guerre et de génocide à Gaza, rappelé tous ses diplomates de Tel-Aviv, et demandé avec quatre autres pays le lancement d’une enquête par la Cour pénale internationale (CPI). Israël avait rétorqué en annonçant à son tour le rappel de son ambassadeur en Afrique du Sud.
Le soutien de l’Afrique du Sud à la cause palestinienne ne date pas de cette guerre qui fait rage depuis bientôt trois mois : il est dans l’ADN de la politique internationale de l’ANC, le parti de la libération au pouvoir depuis 30 ans, qui la compare souvent à son propre combat contre l’apartheid.
Dans un communiqué, le gouvernement explique continuer à appeler à « un cessez-le-feu immédiat et permanent, et à la reprise des pourparlers, pour mettre fin », selon ses mots, « à la violence résultant de l’occupation belligérante de la Palestine ».