Alger se réveille tout doucement, ce mercredi matin. La capitale a savouré jusqu’à tard dans la nuit cette première victoire. Des familles entières - de la petite-fille à la grand-mère - ont chanté, déambulé, drapeaux sur le dos ou à la main.
Mardi soir, à peine la démission du président Bouteflika annoncée, des groupes de jeunes se sont dirigés déjà vers le centre-ville en chantant. « La route est encore longue, mais c’est un pas de géant pour les Algériens, pour les jeunes Algériens, qui ont constaté que cette petite révolution pacifique a porté ses fruits dans le positif », dit l'un d'entre eux.
Très vite, la foule s'est rassemblée : drapeaux algériens, selfies, sourires… La joie sur tous les visages. « Enfin, de la joie, dit un autre. On se sentait humiliés et là, on reprend confiance… Voilà. On est heureux, aujourd’hui. Même si c’est un premier pas, on est heureux ». De la joie et de la fierté de voir que le peuple a enfin été entendu, mais aussi de la gravité. Le sentiment que ce n’est qu’une étape.
Mardi soir, à peine la démission du président Bouteflika annoncée, des groupes de jeunes se sont dirigés déjà vers le centre-ville en chantant. « La route est encore longue, mais c’est un pas de géant pour les Algériens, pour les jeunes Algériens, qui ont constaté que cette petite révolution pacifique a porté ses fruits dans le positif », dit l'un d'entre eux.
Très vite, la foule s'est rassemblée : drapeaux algériens, selfies, sourires… La joie sur tous les visages. « Enfin, de la joie, dit un autre. On se sentait humiliés et là, on reprend confiance… Voilà. On est heureux, aujourd’hui. Même si c’est un premier pas, on est heureux ». De la joie et de la fierté de voir que le peuple a enfin été entendu, mais aussi de la gravité. Le sentiment que ce n’est qu’une étape.