L'une des ambulances prépositionnées à la rue 35 de la Médina lors de l'effondrement de l'immeuble
Le Sénégal met à jour son plan national de prévention des catastrophes. Les pouvoirs publics ont certainement été inspirés par les effondrements, accidents et inondations qui causent des drames et des pertes en vies humaines. C'est à ce titre qu'un atelier d’actualisation de contingence nationale de trois jours est organisé. L’objectif est d’identifier et de programmer des réponses rapides, appropriées et efficaces face à des situations de catastrophes et de crises susceptibles de se produire.
La rencontre a mobilisé le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de la Décentralisation, les responsables des services étatiques, des forces de sécurité, de l’administration territoriale, des collectivités locales, de la société civile, des partenaires techniques et financiers.
Selon le ministre de l’Intérieur, Cheikh Tidiane Sy «cet atelier vient au moment où la problématique des inondations se pose avec acuité». Pour lui, les destructions des infrastructures, l’érosion des moyens de subsistance sont des résultats directs des catastrophes qui peuvent aussi faire reculer les investissements sociaux et augmenter la vulnérabilité des populations. Il a, par ailleurs, indique que "la réduction de la vulnérabilité doit constituer un volet essentiel de toute vision systématique et globale de développement". C’est dans ce cadre que le gouvernement du Sénégal avec l’appui du PNUD a pris des mesures pour prévenir les risques majeurs et atténuer l’impact des catastrophes sur les personnes, les biens et l’environnement, notamment par le renforcement du cadre institutionnel à travers la mise en place d’une plateforme Nationale et sa dynamisation.
Cheikh Tidiane Sy a expliqué que "la politique de réduction des risques de catastrophes est complexe et pluridisciplinaire". Il a, à cet effet, ajouté qu’elle requiert une planification diligente du développement des connaissances scientifiques des systèmes d’alerte. Ainsi, le ministre de l'Intérieur a soutenu que "l’Etat va apporter son appui à toutes les collectivités locales dans leur lutte contre les fléaux, particulièrement les inondations". Cette rencontre est une occasion d’entamer de larges discussions autour de la planification des crises probables pour les prochains mois, d’identifier les besoins pour la gestion de la période d’urgence en cas de survenue de crises et de mesurer le gap financier à combler avant la survenue de désastres" a-t-il indiqué.
La rencontre a mobilisé le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de la Décentralisation, les responsables des services étatiques, des forces de sécurité, de l’administration territoriale, des collectivités locales, de la société civile, des partenaires techniques et financiers.
Selon le ministre de l’Intérieur, Cheikh Tidiane Sy «cet atelier vient au moment où la problématique des inondations se pose avec acuité». Pour lui, les destructions des infrastructures, l’érosion des moyens de subsistance sont des résultats directs des catastrophes qui peuvent aussi faire reculer les investissements sociaux et augmenter la vulnérabilité des populations. Il a, par ailleurs, indique que "la réduction de la vulnérabilité doit constituer un volet essentiel de toute vision systématique et globale de développement". C’est dans ce cadre que le gouvernement du Sénégal avec l’appui du PNUD a pris des mesures pour prévenir les risques majeurs et atténuer l’impact des catastrophes sur les personnes, les biens et l’environnement, notamment par le renforcement du cadre institutionnel à travers la mise en place d’une plateforme Nationale et sa dynamisation.
Cheikh Tidiane Sy a expliqué que "la politique de réduction des risques de catastrophes est complexe et pluridisciplinaire". Il a, à cet effet, ajouté qu’elle requiert une planification diligente du développement des connaissances scientifiques des systèmes d’alerte. Ainsi, le ministre de l'Intérieur a soutenu que "l’Etat va apporter son appui à toutes les collectivités locales dans leur lutte contre les fléaux, particulièrement les inondations". Cette rencontre est une occasion d’entamer de larges discussions autour de la planification des crises probables pour les prochains mois, d’identifier les besoins pour la gestion de la période d’urgence en cas de survenue de crises et de mesurer le gap financier à combler avant la survenue de désastres" a-t-il indiqué.