Les graves révélations de l'Imam Alioune Badara Ndao, sur ses conditions de détention, jeudi lors du 27e jour de son procès ont provoqué une vague de réaction de la part des organisations de défense de droits humains. Certaines d'entre elles ont même annoncé une plainte torture et violations des droits d'un détenu.
Attaquée de toute part, l'administration pénitentiaire du Camp pénal a réagi par la voix de son Directeur Jean Bertrand Bocandé. Il a nié les allégations de l'imam avant d'avouer que ce dernier lui a tenu les mêmes propos quand il lui a rendu visite. "J'ai visité en détention Imam Ndao. Je l'ai trouvé dans sa chambre. On a beaucoup discuté et il a eu à me tenir les mêmes propos, que sa chambre est surchauffée avec une odeur très désagréable et que par moment, il recevait des rayons à ses pieds", a-t-il expliqué sur les ondes de la Rfm.
Le chef de la prison sis à Liberté 6 de poursuivre : "quand je lui ai posé la question de savoir qu'est-ce que l'Administration pouvait faire, il m'a répondu qu'on n'en était pour rien. Et que lui-même n'était en mesure de sentir ni l'odeur, ni la chaleur, encore moins recevoir les rayons qui le piquaient à ses pieds".
Monsieur Bocandé d'assurer que l'Imam Ndao est dans les mêmes conditions de détention que ses camarades détenus de droit de commun.
Attaquée de toute part, l'administration pénitentiaire du Camp pénal a réagi par la voix de son Directeur Jean Bertrand Bocandé. Il a nié les allégations de l'imam avant d'avouer que ce dernier lui a tenu les mêmes propos quand il lui a rendu visite. "J'ai visité en détention Imam Ndao. Je l'ai trouvé dans sa chambre. On a beaucoup discuté et il a eu à me tenir les mêmes propos, que sa chambre est surchauffée avec une odeur très désagréable et que par moment, il recevait des rayons à ses pieds", a-t-il expliqué sur les ondes de la Rfm.
Le chef de la prison sis à Liberté 6 de poursuivre : "quand je lui ai posé la question de savoir qu'est-ce que l'Administration pouvait faire, il m'a répondu qu'on n'en était pour rien. Et que lui-même n'était en mesure de sentir ni l'odeur, ni la chaleur, encore moins recevoir les rayons qui le piquaient à ses pieds".
Monsieur Bocandé d'assurer que l'Imam Ndao est dans les mêmes conditions de détention que ses camarades détenus de droit de commun.
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