L’Ambassadeur Abdul Moiz Bokhari, Secrétaire Général adjoint à l’Organisation de la conférence islamique (OCI) a confié que :« l’OCI compte s’impliquer d’une manière plus dynamique dans le règlement des conflits dans les Etats membres, plus particulièrement ». Il a affirmé que cette implication est nécessaire et opportune pour le monde musulman. Car «malheureusement, la plupart des foyers de tension et de conflit sont situés à l’intérieur du monde musulman».
Le Secrétaire général de l’OCI a expliqué que plusieurs des pays de la «ouma» islamique se trouvent être des foyers de tension dans le monde à l’instar du Soudan, du Darfour, de l’Afghanistan, du Cachemire entre autres. A son avis, cela est une amère réalité qu’il faut accepter si les Etats membres veulent «répondre aux aspirations des Etats membres à l’unité, à la paix, à la stabilité, au développement et au progrès ».
Sur un autre registre, M. Bokhari a souligné la question de l’islamophobie qui est source de beaucoup de problèmes pour les musulmans à travers le monde. Il a affirmé qu’il s’agit d’ «une nouvelle forme de xénophobie et de racisme qui est une grande menace pour la sécurité». Ainsi, il a réitéré l’engagement de l’OCI pour un dialogue avec l’occident dans le but de «régler une fois la question de la tolérance et le respect de la diversité des civilisations, y compris les convictions religieuses et les différences culturelles».
M. Bokhari a soutenu qu' avec la place qu’occupe l’OCI comme la deuxième grande organisation internationale, derrière les Nations-unies, avec 1,5 milliards d’habitants, elle doit assumer son rôle « d’avant-garde de la paix et de la sécurité internationale »
Le Secrétaire général de l’OCI a expliqué que plusieurs des pays de la «ouma» islamique se trouvent être des foyers de tension dans le monde à l’instar du Soudan, du Darfour, de l’Afghanistan, du Cachemire entre autres. A son avis, cela est une amère réalité qu’il faut accepter si les Etats membres veulent «répondre aux aspirations des Etats membres à l’unité, à la paix, à la stabilité, au développement et au progrès ».
Sur un autre registre, M. Bokhari a souligné la question de l’islamophobie qui est source de beaucoup de problèmes pour les musulmans à travers le monde. Il a affirmé qu’il s’agit d’ «une nouvelle forme de xénophobie et de racisme qui est une grande menace pour la sécurité». Ainsi, il a réitéré l’engagement de l’OCI pour un dialogue avec l’occident dans le but de «régler une fois la question de la tolérance et le respect de la diversité des civilisations, y compris les convictions religieuses et les différences culturelles».
M. Bokhari a soutenu qu' avec la place qu’occupe l’OCI comme la deuxième grande organisation internationale, derrière les Nations-unies, avec 1,5 milliards d’habitants, elle doit assumer son rôle « d’avant-garde de la paix et de la sécurité internationale »