Ces opérations sont "cruciales pour maintenir une ligne vitale pour les 4,7 millions de personnes qui reçoivent de l'aide au Darfour", a déclaré sa porte-parole Michèle Montas, faisant également part de l'inquiétude du secrétaire général pour la sécurité des personnels humanitaires.
L'expulsion des ONG travaillant au Darfour a été annoncée par Khartoum dans la foulée du mandat d'arrêt lancé par la Cour pénale internationale (CPI) contre le président soudanais Omar el-Béchir, inculpé de crimes de guerre et crimes contre l'humanité.
L'expulsion des ONG travaillant au Darfour a été annoncée par Khartoum dans la foulée du mandat d'arrêt lancé par la Cour pénale internationale (CPI) contre le président soudanais Omar el-Béchir, inculpé de crimes de guerre et crimes contre l'humanité.