En Israël, on ne fait pas de commentaire à ce stade sur cet accord qui arrive à point nommé pour les autorités israéliennes et qui leur permettra d'éviter la libération de plusieurs milliers de migrants retenus dans le camp de détention de Saharonim, dans le sud d'Israël. La Cour suprême israélienne avait donné jusqu'à dimanche au gouvernement pour trouver une solution à leur cas.
Le représentant du gouvernement avait affirmé en début de semaine aux juges qu'un émissaire avait été envoyé en Ouganda afin d'évaluer la capacité du pays à accueillir certains des 38 000 migrants africains qu'Israël veut expulser.
La question, indique-t-on, sera probablement évoquée lors de la prochaine réunion du gouvernement israélien dimanche matin. En attendant, les commentateurs soulignent qu'il ne s'agit que d'une solution infime au problème des demandeurs d'asile.
Au début du mois, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu avait assuré qu'un accord avec l'ONU allait permettre de transférer 16 000 migrants concernés vers des pays occidentaux et que les autres seraient intégrés en Israël. Mais quelques heures plus tard, il avait fait volte-face et l'accord avait été annulé.
Le représentant du gouvernement avait affirmé en début de semaine aux juges qu'un émissaire avait été envoyé en Ouganda afin d'évaluer la capacité du pays à accueillir certains des 38 000 migrants africains qu'Israël veut expulser.
La question, indique-t-on, sera probablement évoquée lors de la prochaine réunion du gouvernement israélien dimanche matin. En attendant, les commentateurs soulignent qu'il ne s'agit que d'une solution infime au problème des demandeurs d'asile.
Au début du mois, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu avait assuré qu'un accord avec l'ONU allait permettre de transférer 16 000 migrants concernés vers des pays occidentaux et que les autres seraient intégrés en Israël. Mais quelques heures plus tard, il avait fait volte-face et l'accord avait été annulé.