L’agence de surveillance des frontières extérieures de l’UE établit que les équipages de bateaux d’ONG, cofinancées par le milliardaire George Soros, se comportent en véritables complices des trafiquants d’êtres humains : en prenant le relais durant la traversée maritime, ils permettent aux passeurs professionnels de diminuer leurs coûts de transport. Frontex relève que les passeurs contournent ses propres bâtiments et de ceux de la Marine italienne, se rapprochant des navires de ces ONG qui vont leur assurer le passage vers l’Italie.
Les « secours » des ONG prodigués sans qu’elles aient reçu d’appels de détresse
Le rapport de l’agence Frontex Analyse des risques pour 2017 indique que « depuis juin 2016, un nombre important d’embarcations (transportant des clandestins) ont été interceptées ou secourues par des navires appartenant à des ONG sans qu’aient été lancés des appels de détresse et sans information officielle sur la localisation du secours ». Le rapport est encore plus accablant : « La présence des bâtiments des ONG près, voire à l’intérieur, des 12 miles des eaux territoriales libyennes a quasiment doublé en une année, totalisant 15 éléments (14 maritimes et un aérien). Parallèlement, le nombre total d’incidents a augmenté de façon exponentielle. »
Quelles sont ces ONG et surtout qui les finance ? Carmello Zuccaro, premier procureur de Catane, qui évoque une éventuelle complicité avec des groupes criminels, a déclaré dans un entretien avec le quotidien milanais Il Giornale, que leurs opérations en mer exigent un financement considérable : « Pour certaines d’entre elles, on évoque la somme de 400 000 euros par mois, comme pour les navires de MOAS. » Il précise : « Nous pourrions nous retourner contre ses financiers par des enquêtes accusatoires, avec le lancement d’une procédure dans le cadre d’une inculpation criminelle, mais à ce jour (le 25 mars 2017 NDLR) nous n’avons que des suspicions et pas encore d’indices suffisants pour la justifier. » L’enquête, susceptible de mener à des saisies bancaires, « ne sera pas facile car certains de ces navires battent des pavillons d’États non collaboratifs ».
Derrière les ONG et le flux de migrants vers l’Italie, l’argent de Soros et des financeurs de Clinton
Ce scandale, dont l’écho a curieusement un mal fou à franchir le seuil des salles de rédaction françaises, a mis du temps à venir sur la place publique côté italien. Dès février 2016, Disobedient Media avait publié une enquête concluant que les nombreux bateaux aujourd’hui dénoncés par Frontex étaient sponsorisés par des ONG entretenant des relations financières avec des organisations de la galaxie Soros et des donateurs de la campagne présidentielle d’Hillary Clinton.
Les ONG impliquées sont Migrants offshore aid stations (MOAS), Jugend Rettet, Stichting Bootvluchteling, Médecins sans Frontières, Save the children, Proactiva Open Arms, Sea-Watch.org, Sea-Eye et Life Boat, indique Disobedientmedia.com. MOAS a été fondé par Christopher Catrambone, donateur de la campagne de Mme Clinton à hauteur de 416.000 dollars. Un des financeurs de MOAS est Avaaz.org, à hauteur de 500.000 dollars pour ses opérations en Méditerranée. Or Avaaz.org a été fondé par Moveon.org, organisation propriété de George Soros. Save the Children est financé par l’Open Society de George Soros.
Or plusieurs articles ont rapporté, s’appuyant sur une étude du groupe Quilliam, que l’Etat islamique contrôle désormais le trafic des êtres humains à partir de l’Afrique du Nord et qu’il en profite pour recruter parmi les migrants. « En plus de leur action les rendant de facto complices du trafic humain, les ONG dénoncées par le rapport de Frontex sont ainsi susceptibles de contribuer activement à aggraver le terrorisme en Europe », en déduit William Craddick, analyste du site disobedientmedia.
Selon Frontex, le nombre de migrants par voie maritime a bondi de 780 % entre 2015 et 2016 !
L’enjeu statistique est dramatique. Selon l’évaluation à l’évidence sous-estimée de Frontex, le nombre d’entrées illégales en Europe par voie maritime a bondi de 780 % entre 2015 et 2016, à 132.000 ! Les entrées illégales par voie terrestre se sont élevées à 1,896 million en 2016, après 3,288 millions en 2015 et 2,972 millions en 2014. Ces dernières n’étaient « que » de 558.000 en 2013. Les cinq premières nationalités détectées par Frontex sont les syrienne, guinéenne, afghane, irakienne et marocaine.
Les « secours » des ONG prodigués sans qu’elles aient reçu d’appels de détresse
Le rapport de l’agence Frontex Analyse des risques pour 2017 indique que « depuis juin 2016, un nombre important d’embarcations (transportant des clandestins) ont été interceptées ou secourues par des navires appartenant à des ONG sans qu’aient été lancés des appels de détresse et sans information officielle sur la localisation du secours ». Le rapport est encore plus accablant : « La présence des bâtiments des ONG près, voire à l’intérieur, des 12 miles des eaux territoriales libyennes a quasiment doublé en une année, totalisant 15 éléments (14 maritimes et un aérien). Parallèlement, le nombre total d’incidents a augmenté de façon exponentielle. »
Quelles sont ces ONG et surtout qui les finance ? Carmello Zuccaro, premier procureur de Catane, qui évoque une éventuelle complicité avec des groupes criminels, a déclaré dans un entretien avec le quotidien milanais Il Giornale, que leurs opérations en mer exigent un financement considérable : « Pour certaines d’entre elles, on évoque la somme de 400 000 euros par mois, comme pour les navires de MOAS. » Il précise : « Nous pourrions nous retourner contre ses financiers par des enquêtes accusatoires, avec le lancement d’une procédure dans le cadre d’une inculpation criminelle, mais à ce jour (le 25 mars 2017 NDLR) nous n’avons que des suspicions et pas encore d’indices suffisants pour la justifier. » L’enquête, susceptible de mener à des saisies bancaires, « ne sera pas facile car certains de ces navires battent des pavillons d’États non collaboratifs ».
Derrière les ONG et le flux de migrants vers l’Italie, l’argent de Soros et des financeurs de Clinton
Ce scandale, dont l’écho a curieusement un mal fou à franchir le seuil des salles de rédaction françaises, a mis du temps à venir sur la place publique côté italien. Dès février 2016, Disobedient Media avait publié une enquête concluant que les nombreux bateaux aujourd’hui dénoncés par Frontex étaient sponsorisés par des ONG entretenant des relations financières avec des organisations de la galaxie Soros et des donateurs de la campagne présidentielle d’Hillary Clinton.
Les ONG impliquées sont Migrants offshore aid stations (MOAS), Jugend Rettet, Stichting Bootvluchteling, Médecins sans Frontières, Save the children, Proactiva Open Arms, Sea-Watch.org, Sea-Eye et Life Boat, indique Disobedientmedia.com. MOAS a été fondé par Christopher Catrambone, donateur de la campagne de Mme Clinton à hauteur de 416.000 dollars. Un des financeurs de MOAS est Avaaz.org, à hauteur de 500.000 dollars pour ses opérations en Méditerranée. Or Avaaz.org a été fondé par Moveon.org, organisation propriété de George Soros. Save the Children est financé par l’Open Society de George Soros.
Or plusieurs articles ont rapporté, s’appuyant sur une étude du groupe Quilliam, que l’Etat islamique contrôle désormais le trafic des êtres humains à partir de l’Afrique du Nord et qu’il en profite pour recruter parmi les migrants. « En plus de leur action les rendant de facto complices du trafic humain, les ONG dénoncées par le rapport de Frontex sont ainsi susceptibles de contribuer activement à aggraver le terrorisme en Europe », en déduit William Craddick, analyste du site disobedientmedia.
Selon Frontex, le nombre de migrants par voie maritime a bondi de 780 % entre 2015 et 2016 !
L’enjeu statistique est dramatique. Selon l’évaluation à l’évidence sous-estimée de Frontex, le nombre d’entrées illégales en Europe par voie maritime a bondi de 780 % entre 2015 et 2016, à 132.000 ! Les entrées illégales par voie terrestre se sont élevées à 1,896 million en 2016, après 3,288 millions en 2015 et 2,972 millions en 2014. Ces dernières n’étaient « que » de 558.000 en 2013. Les cinq premières nationalités détectées par Frontex sont les syrienne, guinéenne, afghane, irakienne et marocaine.
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