Le ministre de la communication a annoncé ce samedi que l’aide à la formation pour les jeunes reporters du Sénégal. Il présidait l'assemblée générale de la Convention des jeunes reporters du Sénégal à la piscine olympique de Dakar.
«Par rapport à la formation, le chef de l’état avait décidé de porter l’aide à la presse de 500 à 700 millions. Cette aide qui tournait autour de 10% , naturellement, connaitra une hausse», a assuré le maire de Kédougou, par ailleurs porte-parole du Gouvernement et ministre de la communication, des télécommunications et des TIC.
D’ailleurs, par rapport aux vœux de la présidente de la convention, le ministre a promis de revoir et d’évaluer l’utilisation de cette aide destinée aux jeunes journalistes.
«Lorsqu’on alloue une aide à une catégorie de citoyens, il est bon, en temps opportun, de s’arrêter pour évaluer l’efficacité de la gestion de l’allocation de ces deniers», a-t-il expliqué.
En effet, selon la présidente de la convention des jeunes reporters du Sénégal, Aïssatou Mbène Kane, personne ne connait comment ces 10% d’aide sont utilisés.
«Depuis un certain temps, on n’ignore tout de cet argent…». L’heure est venue d’évaluer cette formation et de la repenser», a-t-il demandé. «Nous pensons que telle qu’elle est dispensée, on n’est pas d’accord sur la méthode», a estimé Astou Mbène Kane. Selon elle, cette aide doit bénéficier aux jeunes reporters. «C’est là où le besoin se fait le plus sentir», a fait savoir la présidente de la CJRS.
«Par rapport à la formation, le chef de l’état avait décidé de porter l’aide à la presse de 500 à 700 millions. Cette aide qui tournait autour de 10% , naturellement, connaitra une hausse», a assuré le maire de Kédougou, par ailleurs porte-parole du Gouvernement et ministre de la communication, des télécommunications et des TIC.
D’ailleurs, par rapport aux vœux de la présidente de la convention, le ministre a promis de revoir et d’évaluer l’utilisation de cette aide destinée aux jeunes journalistes.
«Lorsqu’on alloue une aide à une catégorie de citoyens, il est bon, en temps opportun, de s’arrêter pour évaluer l’efficacité de la gestion de l’allocation de ces deniers», a-t-il expliqué.
En effet, selon la présidente de la convention des jeunes reporters du Sénégal, Aïssatou Mbène Kane, personne ne connait comment ces 10% d’aide sont utilisés.
«Depuis un certain temps, on n’ignore tout de cet argent…». L’heure est venue d’évaluer cette formation et de la repenser», a-t-il demandé. «Nous pensons que telle qu’elle est dispensée, on n’est pas d’accord sur la méthode», a estimé Astou Mbène Kane. Selon elle, cette aide doit bénéficier aux jeunes reporters. «C’est là où le besoin se fait le plus sentir», a fait savoir la présidente de la CJRS.